Investing.com - Le dollar U.S. était encore en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les propos tenus hier par le chef de son émettrice ayant étouffé les rumeurs d'une éventuelle réduction de ses perfusions d'argent frais.
En fin de première partie de séance européenne, il a recommencé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,54% pour grimper à 1,3050, après avoir atteint 1,3206.
Il a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
Il avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé après la prise de cap du 19 juin que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne précisait pour sa part qu'elle s'attendait à ce que la période au cours de laquelle les taux demeureront un niveau inférieur ou égal à l'actuel serait "flexible", rappelant que que nouvelles diminutions n'étaient pas exclues.
Le billet vert a également cédé à nouveau du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,67% pour se hisser à 1,5114, après avoir établi un plafond journalier à 1,5194.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,33% pour se retrouver à 99,36, ayant auparavant sombré jusqu'à 98,28.
La devise japonaise a retrouvé du mordant après que la Banque du Japon ait sans surprise opté pour le statu quo.
Elle a aussi revu ses projections économiques nationales vers le haut, estimant que la reprise avait démarré à allure modérée.
Il en allait de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,01% pour tomber à 0,9487.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,37% pour monter à 0,9207, le NZD/USD engrangeant 0,42% pour culminer à 0,7867 et l'USD/CAD régressant de 0,74% pour aller vers 1,0387.
Les autorités australiennes avaient révélé à l'aube la création de 10.300 emplois en juin, alors que 2.500 suppressions étaient redoutées, la proportion des demandeurs d'emplois frémissant cependant de 5,6 vers 5,7% dans le même temps, son plus haut niveau depuis septembre 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 1,24% pour se situer à 83,15.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, il a recommencé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,54% pour grimper à 1,3050, après avoir atteint 1,3206.
Il a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
Il avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé après la prise de cap du 19 juin que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne précisait pour sa part qu'elle s'attendait à ce que la période au cours de laquelle les taux demeureront un niveau inférieur ou égal à l'actuel serait "flexible", rappelant que que nouvelles diminutions n'étaient pas exclues.
Le billet vert a également cédé à nouveau du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,67% pour se hisser à 1,5114, après avoir établi un plafond journalier à 1,5194.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,33% pour se retrouver à 99,36, ayant auparavant sombré jusqu'à 98,28.
La devise japonaise a retrouvé du mordant après que la Banque du Japon ait sans surprise opté pour le statu quo.
Elle a aussi revu ses projections économiques nationales vers le haut, estimant que la reprise avait démarré à allure modérée.
Il en allait de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,01% pour tomber à 0,9487.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,37% pour monter à 0,9207, le NZD/USD engrangeant 0,42% pour culminer à 0,7867 et l'USD/CAD régressant de 0,74% pour aller vers 1,0387.
Les autorités australiennes avaient révélé à l'aube la création de 10.300 emplois en juin, alors que 2.500 suppressions étaient redoutées, la proportion des demandeurs d'emplois frémissant cependant de 5,6 vers 5,7% dans le même temps, son plus haut niveau depuis septembre 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 1,24% pour se situer à 83,15.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.