Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, après que des hauts responsables de son émettrice aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,41% pour se retrouver à 97,32.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré son blason en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'unité monétaire de l'archipel voyait par ailleurs son blason en tant que refuge redoré par l'effondrement des valeurs asiatiques dans l'angoisse d'un tarissement de la source chinoise.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3133.
Le billet vert a fait mieux que résister à la pression de la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,03% pour glisser à 1,5429, le franc suisse peinant à exercer la sienne, l'USD/CHF glissant de 0,06% pour tomber à 0,9325.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,43% pour monter à 0,9289, le NZD/USD engrangeant 0,46% pour culminer à 0,7787 et l'USD/CAD régressant de 0,37% pour aller vers 1,0460.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,20% pour se situer à 82,48.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,41% pour se retrouver à 97,32.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré son blason en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'unité monétaire de l'archipel voyait par ailleurs son blason en tant que refuge redoré par l'effondrement des valeurs asiatiques dans l'angoisse d'un tarissement de la source chinoise.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3133.
Le billet vert a fait mieux que résister à la pression de la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,03% pour glisser à 1,5429, le franc suisse peinant à exercer la sienne, l'USD/CHF glissant de 0,06% pour tomber à 0,9325.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,43% pour monter à 0,9289, le NZD/USD engrangeant 0,46% pour culminer à 0,7787 et l'USD/CAD régressant de 0,37% pour aller vers 1,0460.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,20% pour se situer à 82,48.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.