Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, pâtissant toujours des rumeurs sur les orientations futures de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3384.
Il avait été noté que la production industrielle française avait plongé de 1,4% pour le sixième mois de l'année, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré, tandis que celle du précédent était révisée positivement, limitant son érosion de 0,4 à 0,3%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5555.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur avait davantage diminué que pressenti, fondant de 8,67 à 8,08 milliards de GBP pour juin.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer sous les 8,50 millions pour la période considérée.
Il a d'autre part à peine subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,05% pour se retrouver à 96,65 et l'USD/CHF glissant de 0,03% pour tomber à 0,9200.
Le gouvernement japonais avait quand à lui souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire avait subi une érosion dépassant, avec 0,3%, les 0,2% déjà redoutés, l'avancée de 1,2% évaluée au préalable pour mai ayant par contre été revue à la hausse jusqu'à 1,3%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,55% pour monter à 0,9152, le NZD/USD engrangeant 0,13% pour culminer à 0,8018 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0303.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rabaissé ses projections trimestrielles de croissance depuis 2,5 vers 2,25% pour l'année en cours.
Il avait aussi été signalé à l'aube que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 81,02.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3384.
Il avait été noté que la production industrielle française avait plongé de 1,4% pour le sixième mois de l'année, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré, tandis que celle du précédent était révisée positivement, limitant son érosion de 0,4 à 0,3%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,11% pour se hisser à 1,5555.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur avait davantage diminué que pressenti, fondant de 8,67 à 8,08 milliards de GBP pour juin.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer sous les 8,50 millions pour la période considérée.
Il a d'autre part à peine subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,05% pour se retrouver à 96,65 et l'USD/CHF glissant de 0,03% pour tomber à 0,9200.
Le gouvernement japonais avait quand à lui souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire avait subi une érosion dépassant, avec 0,3%, les 0,2% déjà redoutés, l'avancée de 1,2% évaluée au préalable pour mai ayant par contre été revue à la hausse jusqu'à 1,3%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,55% pour monter à 0,9152, le NZD/USD engrangeant 0,13% pour culminer à 0,8018 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0303.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rabaissé ses projections trimestrielles de croissance depuis 2,5 vers 2,25% pour l'année en cours.
Il avait aussi été signalé à l'aube que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 81,02.