Investing.com - Le dollar U.S. était en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, la prise de cap imminente de son émettrice demeurant au centre des préoccupations.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3285.
Ce dernier a retrouvé du mordant après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, continuant sur la lancée des 13.000 précédents, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Le billet vert a par contre pris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,16% pour reprendre pied à 1,5213.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 97,82 et l'USD/CHF glissant de 0,28% pour tomber à à,9272.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
Le groupe de recherches économiques Markit avait quand à lui constaté à l'aube le retrait de son baromètre de l'activité manufacturière japonaise depuis 52,3 vers 50,7 pour juillet.
Des informations de source gouvernementale soulignaient aussi que les revenus nets moyens dans l'archipel avaient connu un frémissement annualisé de 0,1% en juin, au lieu des 0,2% anticipés suite à la déconvenue de 0,1% constatée auparavant.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD dérapant de 0,29% pour descendre à 0,9035, le NZD/USD engrangeant 0,05% pour culminer à 0,7991 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0300.
Il était aussi à noter que la mesure de la confiance des entreprises de l'Australie établie par le groupe bancaire ANZ avait connu une embellie depuis 50,1 vers 52,8 en juillet, atteignant aainsi son meilleur niveau en 14 ans.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,11% pour se situer à 81,84.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi hors agriculture et un autre sur l'activité des usines de la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3285.
Ce dernier a retrouvé du mordant après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, continuant sur la lancée des 13.000 précédents, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Le billet vert a par contre pris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,16% pour reprendre pied à 1,5213.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 97,82 et l'USD/CHF glissant de 0,28% pour tomber à à,9272.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
Le groupe de recherches économiques Markit avait quand à lui constaté à l'aube le retrait de son baromètre de l'activité manufacturière japonaise depuis 52,3 vers 50,7 pour juillet.
Des informations de source gouvernementale soulignaient aussi que les revenus nets moyens dans l'archipel avaient connu un frémissement annualisé de 0,1% en juin, au lieu des 0,2% anticipés suite à la déconvenue de 0,1% constatée auparavant.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD dérapant de 0,29% pour descendre à 0,9035, le NZD/USD engrangeant 0,05% pour culminer à 0,7991 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0300.
Il était aussi à noter que la mesure de la confiance des entreprises de l'Australie établie par le groupe bancaire ANZ avait connu une embellie depuis 50,1 vers 52,8 en juillet, atteignant aainsi son meilleur niveau en 14 ans.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,11% pour se situer à 81,84.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi hors agriculture et un autre sur l'activité des usines de la région de Chicago.