Investing.com - Le dollar U.S. a éprouvé des difficultés face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après que des résultats peu reluisants aient étouffé l'attente d'une réduction des acquisitions de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,23% pour grimper à 1,2973.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 10.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 25 mai, pour un total hebdomadaire de 354.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 4.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Celui du commerce a pour sa part constaté que le produit intérieur brut des Etats-Unis n'avait augmenté que de 2,4% au cours du premier trimestre, après révision à la baisse des 2,5% estimés au préalable, au lieu du maintien anticipé.
Il a toutefois précisé que les dépenses individuelles avaient bondi de 3,4% dans le même temps, dépassant ainsi les 3,3% mesurés en première évaluation.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY empochant 0,22% pour se retrouver à 101,34.
Le billet vert a malgré cela cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,24% pour se hisser à 1,5166.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec 1,1% leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,22% pour tomber à 0,9618.
Une étude officielle avait auparavant montré une expansion de 0,6% de l'économie helvète au premier trimestre, dépassant largement les 0,2% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD dérapant de 0,16% pour descendre à 0,9618, le NZD/USD laissant échapper 0,73% pour toucher le fond à 0,8037 et l'USD/CAD progressant de 0,17% pour aller vers 1,0365.
La première avait retrouvé de la vigueur après que les autorités de l'Australie aient annoncé avoir accordé 9,1% de permis de construire de plus en avril, au lieu des 4% espérés.
Il était toutefois à noter que les investissements privés du pays avaient fondu de 4,7% au cours des trois premiers mois de l'année, alors que 0,8% supplémentaires étaient envisagés.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait quand à lui affirmé hier que celle-ci était prête à écouler de sa devise qu'il estimait surévaluée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,25% pour se situer à 83,48.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,23% pour grimper à 1,2973.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 10.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 25 mai, pour un total hebdomadaire de 354.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 4.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Celui du commerce a pour sa part constaté que le produit intérieur brut des Etats-Unis n'avait augmenté que de 2,4% au cours du premier trimestre, après révision à la baisse des 2,5% estimés au préalable, au lieu du maintien anticipé.
Il a toutefois précisé que les dépenses individuelles avaient bondi de 3,4% dans le même temps, dépassant ainsi les 3,3% mesurés en première évaluation.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY empochant 0,22% pour se retrouver à 101,34.
Le billet vert a malgré cela cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,24% pour se hisser à 1,5166.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec 1,1% leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,22% pour tomber à 0,9618.
Une étude officielle avait auparavant montré une expansion de 0,6% de l'économie helvète au premier trimestre, dépassant largement les 0,2% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD dérapant de 0,16% pour descendre à 0,9618, le NZD/USD laissant échapper 0,73% pour toucher le fond à 0,8037 et l'USD/CAD progressant de 0,17% pour aller vers 1,0365.
La première avait retrouvé de la vigueur après que les autorités de l'Australie aient annoncé avoir accordé 9,1% de permis de construire de plus en avril, au lieu des 4% espérés.
Il était toutefois à noter que les investissements privés du pays avaient fondu de 4,7% au cours des trois premiers mois de l'année, alors que 0,8% supplémentaires étaient envisagés.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait quand à lui affirmé hier que celle-ci était prête à écouler de sa devise qu'il estimait surévaluée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,25% pour se situer à 83,48.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.