Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, établissant au passage un sommet de deux semaines par rapport à son homologue nippon, après que le chef de son émettrice ait rappelé la semaine passée qu'elle pourrait commencer à limiter ses rachats d'actifs dès cette année.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,64% pour se hisser à 98,46.
Il avait déjà repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La devise nippone s'est pour sa part retrouvée sur la sellette après que que le parti de Shinzo Abe, actuellement au pouvoir au Japon, ait consolidé une majorité lors d'élections au parlement de Tokyo, marquant un soutien pour la politique son gouvernement qui tend à l'affaiblir.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,22% pour tomber à 1,3093, frôlant une ornière de deux semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Elle n'a cependant guère fait cas du frémissement du baromètre de institut Ifo pour la recherche économique de 105,7 vers 105,9 pour juin, qui n'a guère créé la surprise.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,47% pour chuter à 1,5347.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,23% pour culminer à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,61% pour se retrouver à 0,9158, le NZD/USD se laissant arracher 0,26% pour toucher le fond à 0,7720 et l'USD/CAD prenant 0,61% pour monter à 1,0523.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 82,87.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,64% pour se hisser à 98,46.
Il avait déjà repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La devise nippone s'est pour sa part retrouvée sur la sellette après que que le parti de Shinzo Abe, actuellement au pouvoir au Japon, ait consolidé une majorité lors d'élections au parlement de Tokyo, marquant un soutien pour la politique son gouvernement qui tend à l'affaiblir.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,22% pour tomber à 1,3093, frôlant une ornière de deux semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Elle n'a cependant guère fait cas du frémissement du baromètre de institut Ifo pour la recherche économique de 105,7 vers 105,9 pour juin, qui n'a guère créé la surprise.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,47% pour chuter à 1,5347.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,23% pour culminer à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,61% pour se retrouver à 0,9158, le NZD/USD se laissant arracher 0,26% pour toucher le fond à 0,7720 et l'USD/CAD prenant 0,61% pour monter à 1,0523.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 82,87.