Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, son attrait en tant que valeur sûre se trouvant magnifié par la crainte de plus en plus présente d'une intervention des Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait encore devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,31% pour se hisser à 97,45, alors que le refuge traditionnel que constitue son adversaire aurait dû connaître un regain de popularité.
L'ambiance se trouvait en effet plombée par la menace grandissante d'une intervention des pays occidentaux en Syrie, avec les Etats-Unis à leur tête, après que cette dernière ait été accusée d'avoir utilisé des armes non conventionnelles.
Le premier ministre britannique David Cameron a du coup formulé une proposition de résolution des Nations Unies condamnant son utilisation d'armes chimiques et "autorisant à prendre les mesures nécessaires pour protéger la population", qui devrait être proposée sous peu au conseil de sécurité.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,35% pour tomber à 1,3345.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,57% pour chuter à 1,5458, établissant au passage un nouveau creux de deux semaines.
Cette dernière se trouvait sur la sellette dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Celui-ci confirmera vraisemblablement son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés laissent cependant entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9206.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,75% pour se retrouver à 0,8916, le NZD/USD se laissant arracher 0,62% pour toucher le fond à 0,7749 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0481.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,34% pour se situer à 81,46.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait encore devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,31% pour se hisser à 97,45, alors que le refuge traditionnel que constitue son adversaire aurait dû connaître un regain de popularité.
L'ambiance se trouvait en effet plombée par la menace grandissante d'une intervention des pays occidentaux en Syrie, avec les Etats-Unis à leur tête, après que cette dernière ait été accusée d'avoir utilisé des armes non conventionnelles.
Le premier ministre britannique David Cameron a du coup formulé une proposition de résolution des Nations Unies condamnant son utilisation d'armes chimiques et "autorisant à prendre les mesures nécessaires pour protéger la population", qui devrait être proposée sous peu au conseil de sécurité.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,35% pour tomber à 1,3345.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,57% pour chuter à 1,5458, établissant au passage un nouveau creux de deux semaines.
Cette dernière se trouvait sur la sellette dans l'expectative d'un discours imminent de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Celui-ci confirmera vraisemblablement son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés laissent cependant entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9206.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,75% pour se retrouver à 0,8916, le NZD/USD se laissant arracher 0,62% pour toucher le fond à 0,7749 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0481.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,34% pour se situer à 81,46.
Les acteurs du secteur immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.