Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, tout en conservant l'avantage sur son homologue européen, la prudence restant de mise à l'avant-veille de la prise de cap de l'émettrice de son adversaire, alors que les résultats du marché du travail où il a lui-même cours seront fournis le lendemain.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD laissant échapper 0,08% pour trébucher à 1,3503.
Celui-ci avait de fortes chances de demeurer sur la sellette en attendant la réunion jeudi du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,35% pour se retrouver à 98,24.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que certains décideurs de la banque centrale des Etats-Unis aient laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
La livre sterling en a également profité, le GBP/USD prenant 0,49% pour se hisser à 1,6047, grâce aux plus belles performances en 16 ans des prestataires de services, piliers de l'économie britannique.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni réaliser un bond depuis 60,3 vers 62,8 pour octobre, pour constituer son renforcement le plus important depuis mai 1997, alors qu'un faux pas à 59,8 était craint.
Il a d'autre part fait subir sa pression au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,08% pour se hisser à 0,9104.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, l'AUD/USD raflant 0,18% pour monter à 0,9491.
Cette dernière avait toutefois perdu des plumes après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait estimé que "sa surévaluation demeurait gènante", et que "la croissance nécessite probablement un taux de change plus modéré".
Elle avait auparavant maintenu son taux d'intérêt à 2,5%.
La néo-zélandaise se joignait à l'offensive, le NZD/USD engrangeant 0,42% pour culminer à 0,8318, mais pas la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0,09% pour aller vers 1,0432.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,61.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son rapport sur l'activité tertiaire américaine.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD laissant échapper 0,08% pour trébucher à 1,3503.
Celui-ci avait de fortes chances de demeurer sur la sellette en attendant la réunion jeudi du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,35% pour se retrouver à 98,24.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que certains décideurs de la banque centrale des Etats-Unis aient laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
La livre sterling en a également profité, le GBP/USD prenant 0,49% pour se hisser à 1,6047, grâce aux plus belles performances en 16 ans des prestataires de services, piliers de l'économie britannique.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni réaliser un bond depuis 60,3 vers 62,8 pour octobre, pour constituer son renforcement le plus important depuis mai 1997, alors qu'un faux pas à 59,8 était craint.
Il a d'autre part fait subir sa pression au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,08% pour se hisser à 0,9104.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, l'AUD/USD raflant 0,18% pour monter à 0,9491.
Cette dernière avait toutefois perdu des plumes après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait estimé que "sa surévaluation demeurait gènante", et que "la croissance nécessite probablement un taux de change plus modéré".
Elle avait auparavant maintenu son taux d'intérêt à 2,5%.
La néo-zélandaise se joignait à l'offensive, le NZD/USD engrangeant 0,42% pour culminer à 0,8318, mais pas la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0,09% pour aller vers 1,0432.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,61.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son rapport sur l'activité tertiaire américaine.