Investing.com - Le dollar U.S. a patiné face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, profitant des rumeurs persistantes de resserrage de boulons de son émettrice et des tensions provenant de la Syrie, qui encourageaient les valeurs sûres.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD effectuant un saut de puce de 0,03% pour s'élever à 1,3174, aux abords d'une ornière de six semaines.
Il avait en effet été souligné hier que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011, confortant l'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
La monnaie unique demeurait quand à elle fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, ait approuvé l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Le yen s'est par contre contenté de bien résister, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 99,57, proche d'un pic mensuel.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,08% pour atteindre 1,5570.
Le franc suisse a totuefois subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,04% pour culminer à 0,9368.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,71% pour se retrouver à 0,9124, le NZD/USD prenant 0,59% pour culminer à 0,7847 et l'USD/CAD perdant 0,07% pour descendre à 1,0526.
La première avait retrouvé du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de l'Australie avait sans surprise réalisé une croissance de 0,6% du début avril à la fin juin, et dépassé les espérances avec 2,6% annualisés au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,02% pour se situer à 82,40.
Les autorités de l'Europe comptaient pour sa part publier incessamment les chiffres de ses ventes au détail, après quoi les autorités américaines divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD effectuant un saut de puce de 0,03% pour s'élever à 1,3174, aux abords d'une ornière de six semaines.
Il avait en effet été souligné hier que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011, confortant l'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
La monnaie unique demeurait quand à elle fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, ait approuvé l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Le yen s'est par contre contenté de bien résister, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 99,57, proche d'un pic mensuel.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,08% pour atteindre 1,5570.
Le franc suisse a totuefois subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,04% pour culminer à 0,9368.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,71% pour se retrouver à 0,9124, le NZD/USD prenant 0,59% pour culminer à 0,7847 et l'USD/CAD perdant 0,07% pour descendre à 1,0526.
La première avait retrouvé du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de l'Australie avait sans surprise réalisé une croissance de 0,6% du début avril à la fin juin, et dépassé les espérances avec 2,6% annualisés au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,02% pour se situer à 82,40.
Les autorités de l'Europe comptaient pour sa part publier incessamment les chiffres de ses ventes au détail, après quoi les autorités américaines divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur.