Investing.com - L'euro demeurait dangereusement proche d'un gouffre plus que triennal face à la livre sterling ce mardi, les craintes découlant des incertitudes politiques concernant la Grèce, et, à un degré moindre, la France, contribuant à lui nuire.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.805 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8066, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8034, son plancher de trois ans et demi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8079, son plafond du même jour.
Les observateurs demeuraient inquiets de la situation grecque, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni.
Le flou en découlant laissait à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
Des informations émanant de spécilistes de l'immobilier du Royaume-Uni avaient auparavant montré que le solde des coûts des logements nationaux avait subi en avril sa pire plongée des six mois écoulés.
L'institut royal des géomètres agréés RICS a en effet signalé que son indice concernant le sujet avait plongé à -19, aggravant ainsi les -11 révisés à la baisse précédents, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir décliner sous les -10 pour la période considérée.
L'euro restait aux abords de son ornière trimestrielle contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD cédant 0.3% pour glisser à 1.3011, et d'un creux de deux mois et demi contre le yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.38% pour tomber à 103.87.
La zone euro devait par ailleurs voir dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendrait la parole à Francfort.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.805 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8066, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8034, son plancher de trois ans et demi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8079, son plafond du même jour.
Les observateurs demeuraient inquiets de la situation grecque, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni.
Le flou en découlant laissait à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
Des informations émanant de spécilistes de l'immobilier du Royaume-Uni avaient auparavant montré que le solde des coûts des logements nationaux avait subi en avril sa pire plongée des six mois écoulés.
L'institut royal des géomètres agréés RICS a en effet signalé que son indice concernant le sujet avait plongé à -19, aggravant ainsi les -11 révisés à la baisse précédents, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir décliner sous les -10 pour la période considérée.
L'euro restait aux abords de son ornière trimestrielle contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD cédant 0.3% pour glisser à 1.3011, et d'un creux de deux mois et demi contre le yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.38% pour tomber à 103.87.
La zone euro devait par ailleurs voir dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendrait la parole à Francfort.