Investing.com - La livre sterling a pris le dessus face au dollar U.S. ce vendredi matin, les yeux étant braqués vers la publication des chiffres préliminaires du produit intérieur brut britannique du quatrième trimestre, tandis que les bonnes nouvelles d'hier contribuaient à renforcer le moral.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.582 en début de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.581, prenant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5761, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5852, son plafond d'hier.
Le moral s'est en effet trouvé renforcé par le département d'état au travail américain, constatant hier que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 19 janvier avait diminué de 5 000 unités pour se situer à 330 000 après correction saisonnière, son niveau le plus bas depuis janvier 2008, alors qu'une augmentation de 20 000 pour un total de 355 000 était redoutée après les 335 000 précédent.
Le goût pour le risque est aussi remonté une fois noté que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques et de la zone euro était remonté en janvier.
L'unité monétaire du Royaume-Uni restait toutefois boudée après que le Fonds Monétaire International ait revu à la baisse ses prévisions d'expansion économique de cette année et de la prochaine pour le pays, ravivant l'angoisse d'une perte de vitesse de sa relance.
Le premier ministre David Cameron s'est quand à lui engagé à proposer un référendum sur la question d'ici la fin 2017, sur fond d'accentuation de la pression politique visant à renégocier les termes de son appartenance.
La devise à l'effigie de la reine a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.23% pour se hisser à 0.8493.
Londres comptait rendre aujourd'hui son rapport sur la croissance, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec le nombre des ventes de maisons neuves enregistrées par les autorités.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.582 en début de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.581, prenant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5761, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5852, son plafond d'hier.
Le moral s'est en effet trouvé renforcé par le département d'état au travail américain, constatant hier que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 19 janvier avait diminué de 5 000 unités pour se situer à 330 000 après correction saisonnière, son niveau le plus bas depuis janvier 2008, alors qu'une augmentation de 20 000 pour un total de 355 000 était redoutée après les 335 000 précédent.
Le goût pour le risque est aussi remonté une fois noté que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques et de la zone euro était remonté en janvier.
L'unité monétaire du Royaume-Uni restait toutefois boudée après que le Fonds Monétaire International ait revu à la baisse ses prévisions d'expansion économique de cette année et de la prochaine pour le pays, ravivant l'angoisse d'une perte de vitesse de sa relance.
Le premier ministre David Cameron s'est quand à lui engagé à proposer un référendum sur la question d'ici la fin 2017, sur fond d'accentuation de la pression politique visant à renégocier les termes de son appartenance.
La devise à l'effigie de la reine a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.23% pour se hisser à 0.8493.
Londres comptait rendre aujourd'hui son rapport sur la croissance, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec le nombre des ventes de maisons neuves enregistrées par les autorités.