Investing.com - La livre sterling a laissé un dollar U.S. raffermi prendre l'avantage ce mercredi, la série de bons résultats publiés aux Etats-Unis ayant consolidé dans la soirée l'hypothèse d'un tour de vis prochain de l'émettrice de ce dernier.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5378 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis lundi, puis s'est stabilisée vers 1,5379, perdant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5342, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5464, son plafond datant du même jour.
Il avait en effet été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en près de cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0,17% pour se hisser à 0,8496.
La Banque d'Angleterre devait pour sa part diffuser cet après-midi son rapport sur la stabilité financière, alors que les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, et les Etats-Unis présenter les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5378 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis lundi, puis s'est stabilisée vers 1,5379, perdant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5342, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5464, son plafond datant du même jour.
Il avait en effet été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en près de cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0,17% pour se hisser à 0,8496.
La Banque d'Angleterre devait pour sa part diffuser cet après-midi son rapport sur la stabilité financière, alors que les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, et les Etats-Unis présenter les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.