Investing.com - La livre sterling restait proche d'une ornière de plus de deux ans face au dollar U.S. ce mardi, tirée vers le bas par des perspectives économiques moroses et l'idée de nouveaux apports de capitaux de la part de son émettrice.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5141 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5164, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5071, son plancher le plus bas depuis juillet 2010 établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5272, son plafond du 21 février.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet débringolé vers son pire niveau enn deux ans et demi dans le sillage du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au pays où elle a cours par l'agence de notation Moody's, faisant envisager une reprise des apports de capitaux de la Banque d'Angleterre.
Le procès-verbal de la réunion du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre avait souligné en début de semaine dernière que ses membres semblaient se rapprocher d'une nouvelle série d'assouplissements, tandis que son rapport sur l'inflation montrait qu'ils étaient prêts à négliger celle-ci au profit de la croissance.
La monnaie à leffigie de la reine a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.862.
Ce dernier avait subi hier une hémorragie importante, se retrouvant jeté de son piédestal de 16 mois après que le manque de clarté des résultats des élections législatives en Italie ait laissé redouter une perturbation de la marche des réformes et une destabilisation régionale.
La coalition de centre gauche ayant à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Mais les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à procéder à un nouveau scrutin.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait pour sa part témoigner dans l'après-midi sur l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5141 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5164, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5071, son plancher le plus bas depuis juillet 2010 établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5272, son plafond du 21 février.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet débringolé vers son pire niveau enn deux ans et demi dans le sillage du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au pays où elle a cours par l'agence de notation Moody's, faisant envisager une reprise des apports de capitaux de la Banque d'Angleterre.
Le procès-verbal de la réunion du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre avait souligné en début de semaine dernière que ses membres semblaient se rapprocher d'une nouvelle série d'assouplissements, tandis que son rapport sur l'inflation montrait qu'ils étaient prêts à négliger celle-ci au profit de la croissance.
La monnaie à leffigie de la reine a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.862.
Ce dernier avait subi hier une hémorragie importante, se retrouvant jeté de son piédestal de 16 mois après que le manque de clarté des résultats des élections législatives en Italie ait laissé redouter une perturbation de la marche des réformes et une destabilisation régionale.
La coalition de centre gauche ayant à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Mais les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à procéder à un nouveau scrutin.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait pour sa part témoigner dans l'après-midi sur l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.