Investing.com - La livre sterling a abandonné son piédestal du mois face au dollar U.S. ce lundi, les opérateurs empochant leurs gains découlant de sa récente ascension, tandis que l'ambiance restait positive après que Chypre ait obtenu 10 milliards d'euros d'aides.
La paire GBP/USD est retombée depuis 1.526, son plus haut niveau depuis le 22 février, jusqu'à 1.5206 en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5087, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1.5258, son plafond du jour.
La livre sterling s'est élevée vers un pic mensuel en cours de matinée, Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra le démantèlement de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
La Bank of Cyprus, première du pays, sera également restructurée et ses gros épargnants ne seront pas épargnés.
Certains craignent toutefois que cette manoeuvre constitue un précédent pour d'autres membres du bloc euro dont les banques sont en difficulté.
La nervosité restait présente en raison des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
La devise de la Grande-Bretagne avait repris des couleurs la semaine passée après le dévoilement dans son budget annuel d'un certain nombre de mesures destinées à encourager l'expansion économique.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances britanniques, a de plus augmenté les pouvoirs de la Banque d'Angleterre afin de lui permettre d'utiliser des "instruments monétaires non-conventionnels" afin de donner un coup de pouce à l'économie, sans toutefois faire évoluer ses objectifs d'inflation.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0.2% pour se hisser à 0.8546.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
La paire GBP/USD est retombée depuis 1.526, son plus haut niveau depuis le 22 février, jusqu'à 1.5206 en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5087, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1.5258, son plafond du jour.
La livre sterling s'est élevée vers un pic mensuel en cours de matinée, Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra le démantèlement de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
La Bank of Cyprus, première du pays, sera également restructurée et ses gros épargnants ne seront pas épargnés.
Certains craignent toutefois que cette manoeuvre constitue un précédent pour d'autres membres du bloc euro dont les banques sont en difficulté.
La nervosité restait présente en raison des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
La devise de la Grande-Bretagne avait repris des couleurs la semaine passée après le dévoilement dans son budget annuel d'un certain nombre de mesures destinées à encourager l'expansion économique.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances britanniques, a de plus augmenté les pouvoirs de la Banque d'Angleterre afin de lui permettre d'utiliser des "instruments monétaires non-conventionnels" afin de donner un coup de pouce à l'économie, sans toutefois faire évoluer ses objectifs d'inflation.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0.2% pour se hisser à 0.8546.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.