Investing.com - La livre sterling a retrouvé l'avantage face au dollar U.S. ce jeudi, ce dernier subissant le contrecoup de son effondrement par rapport à son homologue japonais.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5185 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 21 mai, puis s'est stabilisée vers 1,5177, gagnant 0,32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5112, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5250, son plafond psychologique suivant.
La devise du Japon retrouvait du poil de la bête, alors que la chute des actions natoinales poussait les investisseurs à redorer son blason en tant que valeur refuge traditionnelle.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a mesuré une augmentation de 1,1% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% précédents, celle-ci se situant à 0,4% d'un mois sur l'autre.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8549.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5185 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 21 mai, puis s'est stabilisée vers 1,5177, gagnant 0,32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5112, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5250, son plafond psychologique suivant.
La devise du Japon retrouvait du poil de la bête, alors que la chute des actions natoinales poussait les investisseurs à redorer son blason en tant que valeur refuge traditionnelle.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a mesuré une augmentation de 1,1% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% précédents, celle-ci se situant à 0,4% d'un mois sur l'autre.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8549.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.