Investing.com - La livre sterling n'a presque pas laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce jeudi, profitant qu'il se dise que son émettrice pourrait faire bientôt remonter ses taux d'intérêt.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5499 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5516, perdant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5425 son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5600, son plafond psychologique suivant.
Le couple s'est en effet tiré hier d'une ornière de deux semaines après que le discours de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas satisfait les observateurs inquiets d'un durcissement monétaire prochain.
Il a pourtant réaffirmé son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés avaient cependant laissé entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
La livre sterling bénéficiait aussi de la confirmation de l'existence de négociations de l'opérateur téléphonique Vodafone avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La prudence restait cependant de mise en raison de la menace d'une action militaire imminente sous l'impulsion américaine contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a ainsi déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,50% pour déraper à 0,8548.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5499 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5516, perdant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5425 son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5600, son plafond psychologique suivant.
Le couple s'est en effet tiré hier d'une ornière de deux semaines après que le discours de Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas satisfait les observateurs inquiets d'un durcissement monétaire prochain.
Il a pourtant réaffirmé son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Les bons résultats économiques récemment publiés avaient cependant laissé entrevoir la possibilité d'une remontée anticipée.
La livre sterling bénéficiait aussi de la confirmation de l'existence de négociations de l'opérateur téléphonique Vodafone avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La prudence restait cependant de mise en raison de la menace d'une action militaire imminente sous l'impulsion américaine contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a ainsi déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,50% pour déraper à 0,8548.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.