Investing.com - La livre sterling a limité ses pertes face au dollar U.S. ce lundi, s'extirpant de son creux des huit derniers mois, ses gains restant toutefois limités par les craintes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro et les rumeurs de nouveaux assouplissements monétaires de la part de la Banque d'Angleterre.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5685, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, jusqu'à 1.5728 en ouverture de séance européenne, perdant tout de même 0.39%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5685, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5814, son plafond du 14 septembre.
L'angoisse liée au problème du surendettement régional s'est en effet trouvée attisée par les ministres des finances européens, prévenant en fin de semaine qu'ils pourraient ne pas accorder la prochaine tranche d'aides à la Grèce si celle-ci devait rater ses objectifs de réduction des déficits.
Les envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International devraient quand à eux rencontrer Evangelos Venizelos, le ministre des finances hellènes, dans la journée, afin de déterminer si celle-ci doit être ou non attribuée à la Grèce.
La devise de la Grande-Bretagne est quand à elle restée sur la sellette sur fond de rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait avoir recours à de nouvelles mesures stimulatrices afin de relancer la croissance après qu'une récente série de résultats décevants ait ravivé la peur d'une fragilisation de l'économie britannique.
La vulnérabilité des prêteurs du pays au risque européen n'a pas non plus contribué à son épanouissement.
Elle a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.46% pour tomber à 0.8699.
Le bulletin trimestriel de la banque centrale du Royaume-Uni avait par ailleurs indiqué ce matin que le plan d'achats de bons qu'elle avait mis en place entre mars 2009 et le début de l'année 2012 avait eu un effet "significatif économiquement" sur le système financier britannique, mais que l'impact de nouvelles mesures semblables pourrait être différent.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5685, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, jusqu'à 1.5728 en ouverture de séance européenne, perdant tout de même 0.39%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5685, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5814, son plafond du 14 septembre.
L'angoisse liée au problème du surendettement régional s'est en effet trouvée attisée par les ministres des finances européens, prévenant en fin de semaine qu'ils pourraient ne pas accorder la prochaine tranche d'aides à la Grèce si celle-ci devait rater ses objectifs de réduction des déficits.
Les envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International devraient quand à eux rencontrer Evangelos Venizelos, le ministre des finances hellènes, dans la journée, afin de déterminer si celle-ci doit être ou non attribuée à la Grèce.
La devise de la Grande-Bretagne est quand à elle restée sur la sellette sur fond de rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait avoir recours à de nouvelles mesures stimulatrices afin de relancer la croissance après qu'une récente série de résultats décevants ait ravivé la peur d'une fragilisation de l'économie britannique.
La vulnérabilité des prêteurs du pays au risque européen n'a pas non plus contribué à son épanouissement.
Elle a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.46% pour tomber à 0.8699.
Le bulletin trimestriel de la banque centrale du Royaume-Uni avait par ailleurs indiqué ce matin que le plan d'achats de bons qu'elle avait mis en place entre mars 2009 et le début de l'année 2012 avait eu un effet "significatif économiquement" sur le système financier britannique, mais que l'impact de nouvelles mesures semblables pourrait être différent.