Investing.com - La livre sterling a fait pplus que rattraper ses pertes face au dollar U.S. ce mercredi, s'extirpant d'un bourbier des huit derniers mois et suivant la trajectoire ascendante de l'euro après que les propos du chef de la commission européenne aient apaisé les craintes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro.
La paire GBP/USD est remmontée depuis 1.5705, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, jusqu'à 1.5787 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5705, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5869, son plafond de mardi.
L'humeur investisseurs a effectivement repris des couleurs après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré qu'il présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens, mais a toutefois averti que cette mesure seule ne suffirait pas à mettre fin au problème du surendettement régional et rappelé que l'Allemagne s'y opposait fortement.
En Grande-Bretagne, le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage a augmenté en août de manière nettement inférieure aux craintes, d'après les chiffres officiels dévoilés ce matin.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a enregistré une hausse de 20 300 inscrits avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 35 000 sur la période considérée.
Le taux de chômage est quand à lui resté stable à 7.9% sans surprise.
La livre sterling est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que le nombre des sans-emploi de l'indice ILO avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
L'indice des revenus moyens avait quand à lui légèrement dépassé les prévisions pour la même période, prenant 2.8% corrigés saisonnièrement au lieu des 2.7% espérés.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre perdu du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP prenant 0.21% pour se hisser à 0.8686.
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître dans l'après-midi leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesuré par leurs autorités.
La paire GBP/USD est remmontée depuis 1.5705, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, jusqu'à 1.5787 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5705, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5869, son plafond de mardi.
L'humeur investisseurs a effectivement repris des couleurs après que Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, ait déclaré qu'il présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens, mais a toutefois averti que cette mesure seule ne suffirait pas à mettre fin au problème du surendettement régional et rappelé que l'Allemagne s'y opposait fortement.
En Grande-Bretagne, le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage a augmenté en août de manière nettement inférieure aux craintes, d'après les chiffres officiels dévoilés ce matin.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a enregistré une hausse de 20 300 inscrits avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 35 000 sur la période considérée.
Le taux de chômage est quand à lui resté stable à 7.9% sans surprise.
La livre sterling est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que le nombre des sans-emploi de l'indice ILO avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
L'indice des revenus moyens avait quand à lui légèrement dépassé les prévisions pour la même période, prenant 2.8% corrigés saisonnièrement au lieu des 2.7% espérés.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre perdu du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP prenant 0.21% pour se hisser à 0.8686.
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître dans l'après-midi leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesuré par leurs autorités.