Investing.com - Le dollar U.S. a recouvré la forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, empochant plus de 1% contre son homologue nippon dans l'attente de la réouverture outre-Atlantique après un week-end de trois jours.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait toujours devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,19% pour se hisser à 102,14.
Ce dernier flanchait par rapport à ses homologues américain et européen, alors que l'indice Nikkei 225 japonais se remettait de son extrême volatilité des dernières sessions.
Les valeurs japonaises ont retrouvé le sourire à l'aube, après que la Banque du Japon ait déclaré son intention de moduler ses interventions sur les marchés après que l'instabilité récemment constatée ait remis ses assouplissements musclés en question.
La devise des Etats-Unis gardait des couleurs grâce aux attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
L'euro a cependant bien résisté, l'EUR/USD ne laissant échapper que 0,01% pour tomber à 1,2928.
Le franc suisse a moins nettement subi sa pression que dans la matinée, l'USD/CHF grignotant 0,41% pour culminer à 0,9695.
Une étude officielle avait auparavant montré que le nombre des salariés helvètes était passé de 4,12 à 4,15 millions au cours du premier trimestre, au lieu de subir l'érosion redoutés à 4,10 millions.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5110.
La monnaie américaine a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD avançant de 0,42% pour se retrouver à 0,9693, le NZD/USD arrachant 0,35% pour culminer à 0,8108 et l'USD/CAD s'élevant de 0,10% pour monter à 1,0348.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,16% pour se situer à 83,89.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait toujours devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,19% pour se hisser à 102,14.
Ce dernier flanchait par rapport à ses homologues américain et européen, alors que l'indice Nikkei 225 japonais se remettait de son extrême volatilité des dernières sessions.
Les valeurs japonaises ont retrouvé le sourire à l'aube, après que la Banque du Japon ait déclaré son intention de moduler ses interventions sur les marchés après que l'instabilité récemment constatée ait remis ses assouplissements musclés en question.
La devise des Etats-Unis gardait des couleurs grâce aux attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
L'euro a cependant bien résisté, l'EUR/USD ne laissant échapper que 0,01% pour tomber à 1,2928.
Le franc suisse a moins nettement subi sa pression que dans la matinée, l'USD/CHF grignotant 0,41% pour culminer à 0,9695.
Une étude officielle avait auparavant montré que le nombre des salariés helvètes était passé de 4,12 à 4,15 millions au cours du premier trimestre, au lieu de subir l'érosion redoutés à 4,10 millions.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5110.
La monnaie américaine a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD avançant de 0,42% pour se retrouver à 0,9693, le NZD/USD arrachant 0,35% pour culminer à 0,8108 et l'USD/CAD s'élevant de 0,10% pour monter à 1,0348.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,16% pour se situer à 83,89.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.