Investing.com - La livre sterling a vu fondre puis s'inverser ses gains réalisés face au dollar U.S. ce lundi après-midi, retombant de son pic des deux derniers jours alors que les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro persistaient malgré l'assurance des dirigeants locaux que la lutte contre les troubles financiers régionaux était engagée.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.584, son cours le plus élevé depuis le 17 mai, jusqu'à 1.5787 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.573, son plancher de deux mois datant du 18 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.586, son plafond du 16 mars.
Le moral a fait un retour timide après que les dirigeants du groupe des 8 pays les plus développés aient indiqué être en faveur du maintien de la Grèce au sein du bloc euro, mais ils n'ont en effet pas réussi à dégager de consensus sur la manière de calmer l'agitation des marchés face au problème du surendettement européen.
Les peurs découlant de l'instabilité politique grecque ont toutefois été quelque peu apaisées avec la nouvelle selon laquelle le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de sauvetage, était en tête des sondages pour les nouvelles élections devant se dérouler le 17 juin.
Mais les opérateurs restaient échaudés par les conséquences qu'entraînerait un départ grec hors du bloc euro, et par les craintes concernant le secteur bancaire espagnol.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait affaiblie par le rapport de la Banque d'Angleterre sur l'inflation publié la semaine dernière, et avertissant des risques encourus par la relance du pays provoqués par les difficultés européennes, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements de sa part.
La monnaie du Royaume-Uni demeurait malgré tout juste au-dessus d'un creux des deux dernières semaines contre l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.8075.
La première rencontre entre Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, et son nouvel homologue français Pierre Moscovici, devant se dérouler en cours de journée à Berlin, était quand à elle très attendue, les chefs de l'Union Européenne se préparant pour leur sommet du 23 à Bruxelles.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.584, son cours le plus élevé depuis le 17 mai, jusqu'à 1.5787 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.573, son plancher de deux mois datant du 18 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.586, son plafond du 16 mars.
Le moral a fait un retour timide après que les dirigeants du groupe des 8 pays les plus développés aient indiqué être en faveur du maintien de la Grèce au sein du bloc euro, mais ils n'ont en effet pas réussi à dégager de consensus sur la manière de calmer l'agitation des marchés face au problème du surendettement européen.
Les peurs découlant de l'instabilité politique grecque ont toutefois été quelque peu apaisées avec la nouvelle selon laquelle le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de sauvetage, était en tête des sondages pour les nouvelles élections devant se dérouler le 17 juin.
Mais les opérateurs restaient échaudés par les conséquences qu'entraînerait un départ grec hors du bloc euro, et par les craintes concernant le secteur bancaire espagnol.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait affaiblie par le rapport de la Banque d'Angleterre sur l'inflation publié la semaine dernière, et avertissant des risques encourus par la relance du pays provoqués par les difficultés européennes, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements de sa part.
La monnaie du Royaume-Uni demeurait malgré tout juste au-dessus d'un creux des deux dernières semaines contre l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.8075.
La première rencontre entre Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, et son nouvel homologue français Pierre Moscovici, devant se dérouler en cours de journée à Berlin, était quand à elle très attendue, les chefs de l'Union Européenne se préparant pour leur sommet du 23 à Bruxelles.