Investing.com - L'euro s'est retrouvé largement en mauvaise posture ce mercredi, après qu'il ait été révélé que l'activité manufacturière de la zone euro avait plongé le mois dernier à son plus bas niveau en 34 mois, et que le chômage avait crevé les plafonds en mars.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD dégringolant de 0.65% pour atterrir à 1.3151.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée sur la sellette suite à une étude montrant que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la zone euro avait subi en avril un dérapage de 47.7 vers 45.9, au lieu des 46 préalablement estimés.
Ce résultat laissait à penser que les principales économies de la zone euro se retrouvaient affectées par la crise de la dette, la production manufacturée allemande subissant son revers le plus important depuis juillet 2009.
Il avait d'autre part été signalé que le chômage du pays avait augmenté le mois dernier.
Celui des 17 pays membres a quand à lui établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
Les autorités de l'Italie ont pour leur part constaté un bond surprenant du pourcentage des inscrits à 9.8% pour mars, son plus haut niveau depuis que les règles de comptage actuelles ont été modifiées en 2004, contre 9.3% auparavant.
Elle a aussi dérapé vers une ornière des 22 mois écoulés contre la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.5% pour glisser à 0.8119.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait soutenue après qu'une étude ait fait savoir que l'activité dans le bâtiment britannique avait moins diminué que redouté pour le mois dernier, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires réalisait en mars une hausse inattendue.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction du Royaume-Uni s'est donc situé à 55.8, contre 56.7 auparavant, alors qu'une régression à 54 était crainte, ménageant l'espoir d'une poursuite de la relance du le secteur.
Il en a été de même avec le yen, mais sa résistance a été plus farouche, conffrontée avec le franc suisse, l'EUR/JPY fondant de 0.33% pour tomber à 105.68 et l'EUR/CHF ne trébuchant que de 0.01% pour reprendre pied à 1.2016.
Elle s'est également trouvée dominée par ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD sombrant de 0.64% vers 1.2727, l'EUR/CAD régressant de 0.54% pour se situer à 1.2971 et l'EUR/NZD ployant de 0.36% pour toucher le fond à 1.6178.
Celles-ci, fortement liées aux matières premières, avaient retrouvéé le sourire ce matin, l'indice manufacturier HSBC de la Chine étant remonté de 48.3 à 49.3 pour mars, laissant deviner une reprise de la seconde économie mondiale après son ralentissement du premier trimestre.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD dégringolant de 0.65% pour atterrir à 1.3151.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée sur la sellette suite à une étude montrant que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la zone euro avait subi en avril un dérapage de 47.7 vers 45.9, au lieu des 46 préalablement estimés.
Ce résultat laissait à penser que les principales économies de la zone euro se retrouvaient affectées par la crise de la dette, la production manufacturée allemande subissant son revers le plus important depuis juillet 2009.
Il avait d'autre part été signalé que le chômage du pays avait augmenté le mois dernier.
Celui des 17 pays membres a quand à lui établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
Les autorités de l'Italie ont pour leur part constaté un bond surprenant du pourcentage des inscrits à 9.8% pour mars, son plus haut niveau depuis que les règles de comptage actuelles ont été modifiées en 2004, contre 9.3% auparavant.
Elle a aussi dérapé vers une ornière des 22 mois écoulés contre la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.5% pour glisser à 0.8119.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait soutenue après qu'une étude ait fait savoir que l'activité dans le bâtiment britannique avait moins diminué que redouté pour le mois dernier, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires réalisait en mars une hausse inattendue.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction du Royaume-Uni s'est donc situé à 55.8, contre 56.7 auparavant, alors qu'une régression à 54 était crainte, ménageant l'espoir d'une poursuite de la relance du le secteur.
Il en a été de même avec le yen, mais sa résistance a été plus farouche, conffrontée avec le franc suisse, l'EUR/JPY fondant de 0.33% pour tomber à 105.68 et l'EUR/CHF ne trébuchant que de 0.01% pour reprendre pied à 1.2016.
Elle s'est également trouvée dominée par ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD sombrant de 0.64% vers 1.2727, l'EUR/CAD régressant de 0.54% pour se situer à 1.2971 et l'EUR/NZD ployant de 0.36% pour toucher le fond à 1.6178.
Celles-ci, fortement liées aux matières premières, avaient retrouvéé le sourire ce matin, l'indice manufacturier HSBC de la Chine étant remonté de 48.3 à 49.3 pour mars, laissant deviner une reprise de la seconde économie mondiale après son ralentissement du premier trimestre.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.