Investing.com - L'euro a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce mercredi après-midi, à l'approche imminente des conclusions de la réunion de l'émettrice de son adversaire, alors que flottait l'hypothèse de l'adoption imminente du statu quo de sa part.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3778 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3771, prenant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3732, son plancher hebdomadaire établi aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 1,3831, son plafond de 23 mois établi vendredi.
Des statistiques avaient auparavant pointé les moins bonnes performances du marché du travail américain en six mois, confortant l'idée du maintien des 85 milliards d'USD mensuels d'aides de la part de la Réserve Fédérale à l'issue de sa prise de cap s'achevant sous peu.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 130.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour ce mois-ci aux Etats-Unis, alors que les experts pensaient pourtant enregistrer 150.000 postes supplémentaires.
Les 166.000 avancés pour le précédentont cependant dû être revus à la baisse vers 145.000.
Le département d'état au travail américain a d'autre part mesuré un gonflement sans surprise de 0,2% des prix pour septembre, prolongeant ainsi les 0,1% ayant précédé.
L'idée générale est que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de l'économie nationale des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
Une étude officielle avait auparavant montré que le produit intérieur brut de l'Espagne avait comme prévu frémi de 0,1% au troisième trimestre, après avoir trébuché de 0,1% au second, signalant sa première émergence de récession depuis 2011.
Il était d'autre part à signaler que les prix à la consommation du pays avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre pour la période située entre début juillet et fin septembre.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP frémissant de 0,01% pour se hisser à 0,8566.
Elle a par ailleurs gagné un terrain plus significatif sur le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,22% pour culminer à 135,26.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3778 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3771, prenant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3732, son plancher hebdomadaire établi aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 1,3831, son plafond de 23 mois établi vendredi.
Des statistiques avaient auparavant pointé les moins bonnes performances du marché du travail américain en six mois, confortant l'idée du maintien des 85 milliards d'USD mensuels d'aides de la part de la Réserve Fédérale à l'issue de sa prise de cap s'achevant sous peu.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 130.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour ce mois-ci aux Etats-Unis, alors que les experts pensaient pourtant enregistrer 150.000 postes supplémentaires.
Les 166.000 avancés pour le précédentont cependant dû être revus à la baisse vers 145.000.
Le département d'état au travail américain a d'autre part mesuré un gonflement sans surprise de 0,2% des prix pour septembre, prolongeant ainsi les 0,1% ayant précédé.
L'idée générale est que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de l'économie nationale des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
Une étude officielle avait auparavant montré que le produit intérieur brut de l'Espagne avait comme prévu frémi de 0,1% au troisième trimestre, après avoir trébuché de 0,1% au second, signalant sa première émergence de récession depuis 2011.
Il était d'autre part à signaler que les prix à la consommation du pays avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre pour la période située entre début juillet et fin septembre.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP frémissant de 0,01% pour se hisser à 0,8566.
Elle a par ailleurs gagné un terrain plus significatif sur le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,22% pour culminer à 135,26.