Investing.com - L'euro était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, grâce à des résultats mannufacturiers dépassant les attentes de la part de la région où il a cours, mais cette poussée demeurait bridée par l'attente de nouveaux détails concernant le programme d'achats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est ainsi hissé à son plus haut niveau en sept semaines devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.256.
Il avait en effet été montré ce matin que l'activité manufacturière du bloc euro avait progressé en août, tout en demeurant en territoire négatif pour le douzième mois d'affilée, tandis que celle du secteur tertiaire s'était dans le même temps détériorée vers son niveau le plus bas depuis juin.
L'indice manufacturier préliminaire des directeurs de achats de la région élaboré par le groupe de recherches économiques Markit s'est ainsi hissé depuis les 44 définitifs de juillet jusqu'à 45.3, alors que les experts n'avaient pourtant pas espéré plus qu'un redressement modeste à 44.2.
Celui des services a par contre trébuché de 47.9 vers 47.5, alors qu'un rabaissement à 47.7 était déjà redouté.
Les usines allemandes ont quand à elles connu en août leur premier infléchissement depuis janvier, mais demeuraient toutefois en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.
Mais des chiffres provenant de la Chine avaient montré en début de matinée que l'activité manufacturière y avait subi en août un ralentissement jusqu'à son niveau le plus bas en neuf mois, ravivant du même coup les craintes d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Les pourparlers européens faisaient toujours des gorges chaudes, après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré hier qu'aucune décision ferme concernant l'extension du programme de réforme grec ne serait prise cette semaine.
Le billet vert restait sur la sellette, après que le compte-rendu de la réunion de la Réserve Fédérale ayant eu lieu en août ait laissé entendre que de nombreux membres de son conseil pensaient que davantage d'accomodements pourraient être nécessaires "dans un futur assez proche" à moins de voir les preuves d'un renforcement "substantiel et durable" de la relance économique.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.28% pour grimper à 0.7911.
Le yen a également subi sa pression, lui permettant de s'approcher d'un sommet des six semaines écoulées, l'EUR/JPY s'élevant de 0.28% pour se situer à 98.73, mais le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.2009.
Ses homologues australienne et canadienne ont par ailleurs subi sa domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD engrangeant 0.38% pour culminer à 1.197, l'EUR/CAD avançant de 0.17% pour s'échanger à 1.2441 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.09% pour déraper à 1.5374.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, suivi par l'évaluation préliminaire de l'activité du secteur industriel, et leur volume officiel des ventes de logements neufs.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est ainsi hissé à son plus haut niveau en sept semaines devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.256.
Il avait en effet été montré ce matin que l'activité manufacturière du bloc euro avait progressé en août, tout en demeurant en territoire négatif pour le douzième mois d'affilée, tandis que celle du secteur tertiaire s'était dans le même temps détériorée vers son niveau le plus bas depuis juin.
L'indice manufacturier préliminaire des directeurs de achats de la région élaboré par le groupe de recherches économiques Markit s'est ainsi hissé depuis les 44 définitifs de juillet jusqu'à 45.3, alors que les experts n'avaient pourtant pas espéré plus qu'un redressement modeste à 44.2.
Celui des services a par contre trébuché de 47.9 vers 47.5, alors qu'un rabaissement à 47.7 était déjà redouté.
Les usines allemandes ont quand à elles connu en août leur premier infléchissement depuis janvier, mais demeuraient toutefois en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.
Mais des chiffres provenant de la Chine avaient montré en début de matinée que l'activité manufacturière y avait subi en août un ralentissement jusqu'à son niveau le plus bas en neuf mois, ravivant du même coup les craintes d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Les pourparlers européens faisaient toujours des gorges chaudes, après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré hier qu'aucune décision ferme concernant l'extension du programme de réforme grec ne serait prise cette semaine.
Le billet vert restait sur la sellette, après que le compte-rendu de la réunion de la Réserve Fédérale ayant eu lieu en août ait laissé entendre que de nombreux membres de son conseil pensaient que davantage d'accomodements pourraient être nécessaires "dans un futur assez proche" à moins de voir les preuves d'un renforcement "substantiel et durable" de la relance économique.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.28% pour grimper à 0.7911.
Le yen a également subi sa pression, lui permettant de s'approcher d'un sommet des six semaines écoulées, l'EUR/JPY s'élevant de 0.28% pour se situer à 98.73, mais le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.2009.
Ses homologues australienne et canadienne ont par ailleurs subi sa domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD engrangeant 0.38% pour culminer à 1.197, l'EUR/CAD avançant de 0.17% pour s'échanger à 1.2441 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.09% pour déraper à 1.5374.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, suivi par l'évaluation préliminaire de l'activité du secteur industriel, et leur volume officiel des ventes de logements neufs.