Investing.com - L'euro s'est élevé vers des pics journaliers face à ses homologues américain et nippon ce mercredi après-midi, la bonne santé affichée par les usines allemandes pour le neuvième mois de l'année, éclipsant quelque peu les bruits évoquant un rabotage imminent des taux de son émettrice.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3532 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le premier novembre, puis s'est stabilisée vers 1,3520, prenant 0,34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3448, son plancher d'une mois et demi établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond psychologique suivant.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après qu'une étude ait mis en évidence pour septembre une explosion de 3,3% des commandes auprès des usines allemandes, pulvérisant les 0,5% prédits.
Elles avaient du coup accéléré de 7,9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 5,9% qui semblaient probables, améliorant ainsi nettement les 3,1% d'août.
Ce rebond n'avait cependant guère de chances de constituer une poussée de fièvre, après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, ayant encouragé les rumeurs de rabotage des taux de la Banque Centrale Européenne, pour en préserver la relance.
Aucun changement ne semblait au programme pour son prochain conseil de direction, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
Il avait d'autre part été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité dans le domaine tertiaire de la région avait subi une érosion depuis 52,2 jusqu'à 51,6 en octobre, celle-ci s'avérant cependant plus limitée que celle devant l'amener aux 50,9 estimés au préalable.
Ses ventes au détail ont d'autre part subi un faux pas de 0,6% en septembre, alors que 0,4% étaient déjà redoutés.
La Commission Européenne a quand à elle revu hier à la baisse ses prévisions de croissance de la région, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Le yen a aussi subi ce regain de forme, l'EUR/JPY grimpant de 0,46% pour se hisser à 133,32.
La livre sterling a pour sa part vu fondre l'avance qu'elle avait creusée, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour grimper à 0,8398, après avoir touché le fond à 0,8379, une rnière de cinq semaines.
La devise de la Grande-Bretagne avait consolidé ses positions grâce à des résultats dépassant les attentes de la part du secteur secondaire où elle a cours, confirmant les signes indiquant un ancrage de la reprise.
Le bureau national des statistiques a ainsi constaté un bond de 1,2% de la production manufacturée britannique, au lieu des 1,1% envisagés pour septembre, et de 0,8% d'un an sur l'autre, au lieu des 0,7% pressentis.
Il a ajouté que celle des industries avait gonflé de 0,9% sur le même mois, soit près du double des 0,5% prévus, et de 2,2% par rapport à celle de 2012.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3532 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le premier novembre, puis s'est stabilisée vers 1,3520, prenant 0,34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3448, son plancher d'une mois et demi établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond psychologique suivant.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après qu'une étude ait mis en évidence pour septembre une explosion de 3,3% des commandes auprès des usines allemandes, pulvérisant les 0,5% prédits.
Elles avaient du coup accéléré de 7,9% par rapport à l'année dernière, au lieu des 5,9% qui semblaient probables, améliorant ainsi nettement les 3,1% d'août.
Ce rebond n'avait cependant guère de chances de constituer une poussée de fièvre, après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, ayant encouragé les rumeurs de rabotage des taux de la Banque Centrale Européenne, pour en préserver la relance.
Aucun changement ne semblait au programme pour son prochain conseil de direction, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
Il avait d'autre part été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité dans le domaine tertiaire de la région avait subi une érosion depuis 52,2 jusqu'à 51,6 en octobre, celle-ci s'avérant cependant plus limitée que celle devant l'amener aux 50,9 estimés au préalable.
Ses ventes au détail ont d'autre part subi un faux pas de 0,6% en septembre, alors que 0,4% étaient déjà redoutés.
La Commission Européenne a quand à elle revu hier à la baisse ses prévisions de croissance de la région, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Le yen a aussi subi ce regain de forme, l'EUR/JPY grimpant de 0,46% pour se hisser à 133,32.
La livre sterling a pour sa part vu fondre l'avance qu'elle avait creusée, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour grimper à 0,8398, après avoir touché le fond à 0,8379, une rnière de cinq semaines.
La devise de la Grande-Bretagne avait consolidé ses positions grâce à des résultats dépassant les attentes de la part du secteur secondaire où elle a cours, confirmant les signes indiquant un ancrage de la reprise.
Le bureau national des statistiques a ainsi constaté un bond de 1,2% de la production manufacturée britannique, au lieu des 1,1% envisagés pour septembre, et de 0,8% d'un an sur l'autre, au lieu des 0,7% pressentis.
Il a ajouté que celle des industries avait gonflé de 0,9% sur le même mois, soit près du double des 0,5% prévus, et de 2,2% par rapport à celle de 2012.