Investing.com - L'euro était en progression mitigée face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, après que les ministres des finances de la zone euro aient donné leur accord formel au second plan de secours à la Grèce, mais le dollar U.S. restait nettement ronforcé par l'amenuisement de l'attente de nouvelles injections de capitaux par la Réserve Fédérale.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a toutefois légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.3084.
Il avait repris des couleurs après que Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe, ait fait savoir que les ministres des finances de la zone euro avaient formellement donné leur approbation au second programme d'aides financières pour la nation hellène, représentant un volume de 130 milliards d'euros.
Des rapports officiels avaient montré que la production industrielle de janvier en zone euro avait augmenté pour la première fois en trois mois, tandis que le taux d'inflation des prix au détail demeurait stable et supérieur aux objectifs de la Banque Centrale Européenne.
La monnaie unique a également fait subir sa pression au yen, l'EUR/JPY bondissant de 0.68% pour grimper à 109.24.
Elle a pas contre cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.13% pour glisser à 0.8318.
Des informations émanant des autorités britanniques indiquaient ce matin que le nombre de demandeurs d'emploi du pays avait davantage augmenté en février qu'espéré, tandis que la taux de chômage stagnait à 8.4%, son niveau le plus élevé depuis 1995.
Elle s'est élevée vers un pic des cinq dernières semaines par rapport au franc suisse, l'EUR/CHF avançant de 0.24% pour s'établir à 1.2105, à la veille de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque Nationale Suisse.
Une étude suisse avait auparavant montré que le moral économique helvète était nettement remonté ce mois-ci, et ce pour le troisième mois d'affilée.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet révélé que son baromètre de l'humeur économique avait engrangé 21.2 points pour se retrouver en position neutre à 0, contre -21.2 pour février.
Elle a aussi dominé ses homologues australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'EUR/AUD raflant 0.58% pour caracoler à 1.247, l'EUR/NZD s'envolant de 1.18% pour se percher à 1.6078 et l'EUR/CAD accumulant 0.24% pour s'échanger à 1.2965.
Le blason du dollar australien s'était trouvé terni en début de matinée par une étude révélant que la confiance des consommateurs s'était effondrée en mars, sous le poids des craintes liées aux perspectives de croissance mondiales et de la hausse des taux des emprunts hypothécaires des banques principales, et ce malgré les deux baisses des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie effectuées à la fin de l'année dernière.
L'étalon amé&ricain demeurait encouragé par l'évaluation positive de l'économie américaine provenant de la Réserve Fédérale, tuant dans l'oeuf l'attente de nouvelles injections de capitaux.
La banque centrale des Etats-Unis a en effet déclaré dans son communiqué sur les taux publié hier s'attendre à une "croissance économique modeste", après avoir estimé en janvier que la croissance serait "limitée", ajoutant que la hausse des cours du pétrole pourrait tirer l'inflation vers le haut.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a toutefois légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.3084.
Il avait repris des couleurs après que Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe, ait fait savoir que les ministres des finances de la zone euro avaient formellement donné leur approbation au second programme d'aides financières pour la nation hellène, représentant un volume de 130 milliards d'euros.
Des rapports officiels avaient montré que la production industrielle de janvier en zone euro avait augmenté pour la première fois en trois mois, tandis que le taux d'inflation des prix au détail demeurait stable et supérieur aux objectifs de la Banque Centrale Européenne.
La monnaie unique a également fait subir sa pression au yen, l'EUR/JPY bondissant de 0.68% pour grimper à 109.24.
Elle a pas contre cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.13% pour glisser à 0.8318.
Des informations émanant des autorités britanniques indiquaient ce matin que le nombre de demandeurs d'emploi du pays avait davantage augmenté en février qu'espéré, tandis que la taux de chômage stagnait à 8.4%, son niveau le plus élevé depuis 1995.
Elle s'est élevée vers un pic des cinq dernières semaines par rapport au franc suisse, l'EUR/CHF avançant de 0.24% pour s'établir à 1.2105, à la veille de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque Nationale Suisse.
Une étude suisse avait auparavant montré que le moral économique helvète était nettement remonté ce mois-ci, et ce pour le troisième mois d'affilée.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet révélé que son baromètre de l'humeur économique avait engrangé 21.2 points pour se retrouver en position neutre à 0, contre -21.2 pour février.
Elle a aussi dominé ses homologues australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'EUR/AUD raflant 0.58% pour caracoler à 1.247, l'EUR/NZD s'envolant de 1.18% pour se percher à 1.6078 et l'EUR/CAD accumulant 0.24% pour s'échanger à 1.2965.
Le blason du dollar australien s'était trouvé terni en début de matinée par une étude révélant que la confiance des consommateurs s'était effondrée en mars, sous le poids des craintes liées aux perspectives de croissance mondiales et de la hausse des taux des emprunts hypothécaires des banques principales, et ce malgré les deux baisses des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie effectuées à la fin de l'année dernière.
L'étalon amé&ricain demeurait encouragé par l'évaluation positive de l'économie américaine provenant de la Réserve Fédérale, tuant dans l'oeuf l'attente de nouvelles injections de capitaux.
La banque centrale des Etats-Unis a en effet déclaré dans son communiqué sur les taux publié hier s'attendre à une "croissance économique modeste", après avoir estimé en janvier que la croissance serait "limitée", ajoutant que la hausse des cours du pétrole pourrait tirer l'inflation vers le haut.