Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage lors des rares échanges de ce vendredi matin, à l'approche des informations portant sur l'immobilier des Etats-Unis, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de leur banque centrale n'ait guère dissipé le flou portant sur le moment où elle devrait diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3336 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3343, trébuchant de 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3298, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3427, son plafond du 21 août.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la Réserve Fédérale avait mis en relief mercredi des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le département d'état au travail américain a quand à lui dénombré hier 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
La monnaie unique ne flanchait tout de même pas, après que les industries de la région l'ayant adoptée aient connu leur regain d'activité le plus marqué en 26 mois.
Elle a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,13% pour chuter à 0,8556.
Les Etats-Unis coptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3336 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3343, trébuchant de 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3298, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3427, son plafond du 21 août.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la Réserve Fédérale avait mis en relief mercredi des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le département d'état au travail américain a quand à lui dénombré hier 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
La monnaie unique ne flanchait tout de même pas, après que les industries de la région l'ayant adoptée aient connu leur regain d'activité le plus marqué en 26 mois.
Elle a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,13% pour chuter à 0,8556.
Les Etats-Unis coptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.