Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce vendredi matin, dans le sillage de bons résultats des ventes au détail allemandes, mais subissant cependant les commentaires formulés en début de semaine par le chef de son émettrice.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3088 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 26 juin, puis s'est stabilisée vers 1,3072, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3000, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3151, son plafond du 25 juin.
Une étude officielle avait auparavant signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
La monnaie unique demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé avant-hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le billet vert subissait pour sa part l'attente d'un maintien des apports de capitaux de la Réserve Fédérale après que le département d'état au travail américain ait dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8559.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3088 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 26 juin, puis s'est stabilisée vers 1,3072, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3000, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,3151, son plafond du 25 juin.
Une étude officielle avait auparavant signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
La monnaie unique demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé avant-hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le billet vert subissait pour sa part l'attente d'un maintien des apports de capitaux de la Réserve Fédérale après que le département d'état au travail américain ait dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8559.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.