Investing.com - L'euro n'a presque pas cédé de terrain au dollar U.S. ce mardi matin, dans le sillage de résultats encourageants de la part de l'Allemagne, la nervosité étant palpable à l'approche des prises de cap de leurs émettrices respectives.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3248 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3258, trébuchant de 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son plancher de 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3300, son plafond du 20 juin.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet signalé que son baromètre du moral des consommateurs avait davantage progressé ce mois-ci qu'espéré, en frémissant depuis 6,8 vers 7,0.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser 6,9 pour la période considérée.
Le billet vert avait cependant retrouvé des couleurs hier, les bons résultats américains ayant ravivé le spectre d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
Les spécialistes de l'imobilier ont ainsi fait savoir que le nombre des ventes de logements en cours avait limité les dégpats à 0,4% en juin, au lieu des 1% redoutés suite à l'explosion de 5,8% du mois précédent.
L'euro a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne laissant échapper que 0,02% pour glisser à 0,8644.
Les autorités germaniques comptaient pour leur part dibulguer aujourd'hui les premières estimations de l'évolution des prix à la consommation nationaux, et celles de l'Espagne faire de même avec le produit intérieur brut national.
Les Etats-Unis feront de même avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3248 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3258, trébuchant de 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son plancher de 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3300, son plafond du 20 juin.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet signalé que son baromètre du moral des consommateurs avait davantage progressé ce mois-ci qu'espéré, en frémissant depuis 6,8 vers 7,0.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser 6,9 pour la période considérée.
Le billet vert avait cependant retrouvé des couleurs hier, les bons résultats américains ayant ravivé le spectre d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
Les spécialistes de l'imobilier ont ainsi fait savoir que le nombre des ventes de logements en cours avait limité les dégpats à 0,4% en juin, au lieu des 1% redoutés suite à l'explosion de 5,8% du mois précédent.
L'euro a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne laissant échapper que 0,02% pour glisser à 0,8644.
Les autorités germaniques comptaient pour leur part dibulguer aujourd'hui les premières estimations de l'évolution des prix à la consommation nationaux, et celles de l'Espagne faire de même avec le produit intérieur brut national.
Les Etats-Unis feront de même avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.