Investing.com - L'euro a réussi à prendre le dessus face au dollar U.S. ce mercredi matin, mais demeurait sous pression à quelques heures de la mise en vente de bons du trésor de l'Italie suite à l'impasse résultant des élections législatives nationales.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3091 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3079, prenant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3017, son plancher de sept semaines établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.317, son plafond suivant.
Aucun parti ni coalition n'a en effet réussi à établir de majorité au sénat, faisant ressurgir le spectre d'une période d'instabilité politique prolongée et d'un retour de la crise régionale qui pourrait en résulter.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% de lundi jusqu'à 4.91%, et il en était de même à Madrid, où ils passaient de 5.1 à 5.5% dans le même temps.
Les enchères d'obligations quinquennales et décennales italiennes d'aujourd'hui seront du coup particulièrement surveillées.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant lors de son témoignage devant le comité bancaire sénatorial que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.36% pour se hisser à 0.8666, mais le yen lui a mieux résisté, l'EUR/JPY ne grignotant que 0.01% pour frémir à 120.14.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le chef de leur banque centrale, comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à une conférence en Allemagne.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3091 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3079, prenant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3017, son plancher de sept semaines établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.317, son plafond suivant.
Aucun parti ni coalition n'a en effet réussi à établir de majorité au sénat, faisant ressurgir le spectre d'une période d'instabilité politique prolongée et d'un retour de la crise régionale qui pourrait en résulter.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% de lundi jusqu'à 4.91%, et il en était de même à Madrid, où ils passaient de 5.1 à 5.5% dans le même temps.
Les enchères d'obligations quinquennales et décennales italiennes d'aujourd'hui seront du coup particulièrement surveillées.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant lors de son témoignage devant le comité bancaire sénatorial que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.36% pour se hisser à 0.8666, mais le yen lui a mieux résisté, l'EUR/JPY ne grignotant que 0.01% pour frémir à 120.14.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le chef de leur banque centrale, comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à une conférence en Allemagne.