Investing.com - L'euro a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce jeudi matin, ce dernier se trouvant tiré vers le bas par son passage à vide contre son homologue japonais.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,2986 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1,2969, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2932, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3000, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert a dérapé dans une ornière de trois semaines par rapport à la devise nippone, dont le blason en tant que valeur refuge se trouvait redoré par l'effondrement des valeurs boursière japonaises.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour descendre à 0,8550, mais moins au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,27% pour glisser jusqu'à 130,53.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,2986 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1,2969, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2932, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3000, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert a dérapé dans une ornière de trois semaines par rapport à la devise nippone, dont le blason en tant que valeur refuge se trouvait redoré par l'effondrement des valeurs boursière japonaises.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour descendre à 0,8550, mais moins au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,27% pour glisser jusqu'à 130,53.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.