Investing.com - L'euro a redressé la barre face au dollar U.S. lors des échanges raréfiés de ce mardi matin, l'attention demeurant monopolisée par l'ouragan Sandy, mais son avancée demeurait limitée par l'expectattive de la mise aux enchères de dettes italiennes attendue aujourd'hui.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.294 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.293, gagnant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2881, son plancher de deux semaines datant du 26 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.2996, son plafond du 24.
La monnaie unique s'était retrouvée encore plus fragilisée après que Mariano Rajoy, premier ministre de l'Espagne, ait affirmé hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Cette intervention était survenue après qu'une étude officielle ait signalé que les ventes au détail du pays avaient subi en septembre leur plus forte dégringolade de tous les temps, épaississant du même coup l'ombre planant sur les perspectives économiques espagnoles.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement émises par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.12% pour se hisser à 0.8057, mais a tébuché par rapport au yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.15% pour glisser à 102.81.
L'unité monétaire nippone a ainsi dominé à l'aube ses adversaires d'Europe et des Etats-Unis, après que les accomodements supplémentaires adoptés par la Banque du Japon aient déçu les attentes de mesures plus agressives.
Elle avait auparavant décidé lors de son conseil d'orientation d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs, le ministre de l'économie Seiji Maehara se joignant à son communiqué pour y déclarer que cette manoeuvre constituait une étape importante dans la lutte contre la déflation.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.294 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.293, gagnant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2881, son plancher de deux semaines datant du 26 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.2996, son plafond du 24.
La monnaie unique s'était retrouvée encore plus fragilisée après que Mariano Rajoy, premier ministre de l'Espagne, ait affirmé hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Cette intervention était survenue après qu'une étude officielle ait signalé que les ventes au détail du pays avaient subi en septembre leur plus forte dégringolade de tous les temps, épaississant du même coup l'ombre planant sur les perspectives économiques espagnoles.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement émises par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.12% pour se hisser à 0.8057, mais a tébuché par rapport au yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.15% pour glisser à 102.81.
L'unité monétaire nippone a ainsi dominé à l'aube ses adversaires d'Europe et des Etats-Unis, après que les accomodements supplémentaires adoptés par la Banque du Japon aient déçu les attentes de mesures plus agressives.
Elle avait auparavant décidé lors de son conseil d'orientation d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs, le ministre de l'économie Seiji Maehara se joignant à son communiqué pour y déclarer que cette manoeuvre constituait une étape importante dans la lutte contre la déflation.