Investing.com - L'euro a vu fondre son avancée sur le dollar U.S. ce lundi après-midi, alors que l'enthousiasme déclenché par le sauvetage chypriote commençait à se dissiper.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1.3048, son pic du jour, jusqu'à 1.2908 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.64%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2864, son plancher du 20 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.3048, son plafond du jour.
En cours de matinée, Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra le démantèlement de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Tous ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
La monnaie unique restait fragilisée en raison des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
L'euro a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.32% pour glisser à 0.8503.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1.3048, son pic du jour, jusqu'à 1.2908 en seconde partie de séance européenne, perdant 0.64%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2864, son plancher du 20 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.3048, son plafond du jour.
En cours de matinée, Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra le démantèlement de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Tous ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
La monnaie unique restait fragilisée en raison des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
L'euro a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.32% pour glisser à 0.8503.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.