Investing.com - La livre sterling n'a guère pris le dessus contre le dollar U.S. ce mardi, après qu'une étude officielle ait montré que l'augmentation des prix là où elle a cours avait été en février la plus importante en neuf mois.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5135 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5119, grignotant 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5067, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.522, son plafond suivant.
Le bureau national des statistiques a en effet signalé que l'inflation au détail du Royaume-Uni était sans surprise passée de 2.7 à 2.8% pour le mois dernier.
Il a précisé que cette hausse était imputable à la hausse des coûts du gaz de ville, de l'électricité et du carburant, sans oublier celui des jeux vidéo et des appareils photographiques.
Celle des prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, était quand à elle stable à 2.3% après ajustement saisonnier sur la même période, au lieu de s'éroder à 2.2% comme anticipé.
L'indice des prix à la consommation a pour sa part grimpé de 3.2% en février, alors que 3.3% étaient attendus comme pour le premier mois de l'année.
La Banque d'Angleterre publiera demain le procès-verbal de sa réunion de mars, après qu'il ait été montré lors de la précédente que ses décideurs commençaient à envisager une consolidation de son programme d'apports de capitaux.
La prudence restait de mise, le moral se trouvant plombé par le spectre d'un retour de la crise de la dette européenne suite à la controverse entourant le plan de sauvetage chypriote.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.19% pour se hisser à 0.8559.
Le centre de recherches économiques ZEW a aussi fait savoir en fin de matinée son baromètre du moral économique allemand avait frémi depuis 48.2 vers 48.5 pour mars.
Celui de la zone euro a par contre plongé depuis 42.4 vers 33.4 dans le même temps.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5135 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5119, grignotant 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5067, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.522, son plafond suivant.
Le bureau national des statistiques a en effet signalé que l'inflation au détail du Royaume-Uni était sans surprise passée de 2.7 à 2.8% pour le mois dernier.
Il a précisé que cette hausse était imputable à la hausse des coûts du gaz de ville, de l'électricité et du carburant, sans oublier celui des jeux vidéo et des appareils photographiques.
Celle des prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, était quand à elle stable à 2.3% après ajustement saisonnier sur la même période, au lieu de s'éroder à 2.2% comme anticipé.
L'indice des prix à la consommation a pour sa part grimpé de 3.2% en février, alors que 3.3% étaient attendus comme pour le premier mois de l'année.
La Banque d'Angleterre publiera demain le procès-verbal de sa réunion de mars, après qu'il ait été montré lors de la précédente que ses décideurs commençaient à envisager une consolidation de son programme d'apports de capitaux.
La prudence restait de mise, le moral se trouvant plombé par le spectre d'un retour de la crise de la dette européenne suite à la controverse entourant le plan de sauvetage chypriote.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.19% pour se hisser à 0.8559.
Le centre de recherches économiques ZEW a aussi fait savoir en fin de matinée son baromètre du moral économique allemand avait frémi depuis 48.2 vers 48.5 pour mars.
Celui de la zone euro a par contre plongé depuis 42.4 vers 33.4 dans le même temps.