Investing.com - Le dollar U.S. a laissé son cousin canadien prendre l'avantage lors des rares échanges de ce lundi après-midi, les places boursières des Etats-Unis et du Canada demeurant inactives pour cause de fête du travail, sur fond d'apaisement de l'angoisse d'une intervention imminente en Syrie.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1,0517 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,0524, trébuchant de 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,0474, son plancher du 28 août, et de rencontrer de la résistance à 1,0569, son plafond du 23.
Le président américain Barack Obama a lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
Le soulagement avait déjà été manifeste après que la seconde économie mondiale ait donné des signes de revigoration.
Il avait ainsi été souligné à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Une étude officielle avait signalé la veille que son équivalent établi par les autorités était monté depuis 50,3 vers 51,0 dans le même temps, établissant un pic de quatre mois tout en dépassant les 50,6 anticipés.
Le loonie a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CAD glissant de 0,17% pour déraper à 1,3899.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre définitif de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant montré que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1,0517 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,0524, trébuchant de 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,0474, son plancher du 28 août, et de rencontrer de la résistance à 1,0569, son plafond du 23.
Le président américain Barack Obama a lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
Le soulagement avait déjà été manifeste après que la seconde économie mondiale ait donné des signes de revigoration.
Il avait ainsi été souligné à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Une étude officielle avait signalé la veille que son équivalent établi par les autorités était monté depuis 50,3 vers 51,0 dans le même temps, établissant un pic de quatre mois tout en dépassant les 50,6 anticipés.
Le loonie a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CAD glissant de 0,17% pour déraper à 1,3899.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre définitif de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant montré que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.