Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé dans des creux journaliers face à son homologue canadien ce jeudi après-midi, après que l'économie où son adversaire a cours ait affiché de belles performances.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1,0435 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1,0440, perdant 0,36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,0426, son plancher du 29 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,0488, son plafond du jour.
L'agence Statistics Canada a en effet révélé une expansion de 0,3% du produit intérieur brut pour août, au lieu des 0,2% anticipés, prolongeant les 0,6% de juillet.
Il a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 1,7% prédits, après les 1,5% précédents.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides.
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La baisse conforme aux espérances des inscriptions au chômage américaines n'a pour sa part guère eu d'effets.
Le département d'état au travail américainen a ainsi dénombré 10.000 de mois au cours de la semaine achevée le 25 octobre, pour un total hebdomadaire de 340.000 après correction saisonnière.
Le loonie a par ailleurs gagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/CAD sombrant de 0,93% pour reprendre pied à 1,4256.
La monnaie unique s'est retrouvée assaillie de toutes parts après que l'inflation du mois, se retrouvant là où elle a cours à son plus bas niveau en quatre ans, ait amplifié les rumeurs concernant les orientations de son émettrice.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1,0435 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1,0440, perdant 0,36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,0426, son plancher du 29 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,0488, son plafond du jour.
L'agence Statistics Canada a en effet révélé une expansion de 0,3% du produit intérieur brut pour août, au lieu des 0,2% anticipés, prolongeant les 0,6% de juillet.
Il a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 1,7% prédits, après les 1,5% précédents.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides.
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La baisse conforme aux espérances des inscriptions au chômage américaines n'a pour sa part guère eu d'effets.
Le département d'état au travail américainen a ainsi dénombré 10.000 de mois au cours de la semaine achevée le 25 octobre, pour un total hebdomadaire de 340.000 après correction saisonnière.
Le loonie a par ailleurs gagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/CAD sombrant de 0,93% pour reprendre pied à 1,4256.
La monnaie unique s'est retrouvée assaillie de toutes parts après que l'inflation du mois, se retrouvant là où elle a cours à son plus bas niveau en quatre ans, ait amplifié les rumeurs concernant les orientations de son émettrice.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.