Investing.com - Le dollar U.S. a pardu la main face au franc suisse ce mercredi, le moral ayant connu un sursaut à la suite grâce au succès de la mise en vente d'emprunts de l'Italie, bien que l'impasse politique du pays favorise sa désirabilité en tant que valeur sûre.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.929 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9308, trébuchant de 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9273, son plancher du 21 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9347, son plafond du 22 janvier.
Rome a ainsi émis pour 4 milliards d'euros d'obligations décennales à un taux moyen de 4.83%, dépassant toutefois les 4.17% enregistrés le mois dernier, et pour 2.5 milliards d'euros à échéance à cinq ans à 3.59%, au lieu des 2.94% précédents.
Les taux des premières se sont ensuite hissés à 4.84%, aux abords de leur plus haut niveau depuis décembre.
La situation nationale restait cependant incertaine, aucun parti ni coalition n'ayant réussi à établir de majorité au sénat à la suite des élections.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, comparaîtra à nouveau aujourd'hui à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, après avoir défndu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
L'agence de recherches économiques KOF a quand à elle signalé que son baromètre du moral économique helvète avait reculé depuis 1.12 jusqu'à 1.03 en février, limitant cependant les dégâts par rapport aux 1 redoutés.
La devise de la confédération a par ailleurs cédé quelques mètres de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.12% pour s'élever à 1.2186.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que Mario Draghi, directeur de la Banque Centrale Européenne, participera à de son côté une conférence en Allemagne.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.929 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9308, trébuchant de 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9273, son plancher du 21 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9347, son plafond du 22 janvier.
Rome a ainsi émis pour 4 milliards d'euros d'obligations décennales à un taux moyen de 4.83%, dépassant toutefois les 4.17% enregistrés le mois dernier, et pour 2.5 milliards d'euros à échéance à cinq ans à 3.59%, au lieu des 2.94% précédents.
Les taux des premières se sont ensuite hissés à 4.84%, aux abords de leur plus haut niveau depuis décembre.
La situation nationale restait cependant incertaine, aucun parti ni coalition n'ayant réussi à établir de majorité au sénat à la suite des élections.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, comparaîtra à nouveau aujourd'hui à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, après avoir défndu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
L'agence de recherches économiques KOF a quand à elle signalé que son baromètre du moral économique helvète avait reculé depuis 1.12 jusqu'à 1.03 en février, limitant cependant les dégâts par rapport aux 1 redoutés.
La devise de la confédération a par ailleurs cédé quelques mètres de terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0.12% pour s'élever à 1.2186.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que Mario Draghi, directeur de la Banque Centrale Européenne, participera à de son côté une conférence en Allemagne.