Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse ce mardi, se retrouvant proches de la barre psychologique cruciale des 100 USD le baril, le net affaiblissement du dollar U.S. augmentant l'attrait des matières premières et compensant les incertitudes concernant les besoins énergétiques à court terme des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 99.66 USD le baril en début de séance européenne, gagnant 0.5%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.72 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.55% de progression.
La monnaie américaine a en effet plongé à son pire niveau en trois semaines, et l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.71% de son côté pour se situer à 73.78, sa plus piètre position des trois derniers mois.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le président Obama a en effet appelé lors d'un discours à la Maison Blanche les dirigeants démocrates et républicains a trouver un compromis équitable sur le sujet afin d'éviter un défaut de paiement national "irréfléchi et irresponsable".
John Boehner, président de la chambre des représentants, a peu après plaidé pour l'adoption des propositions émanant de son parti républicain, et agité le spectre des conséquences d'un défaut de paiement.
Les observateurs attendaient quand à eux de nouvelles informations concernant les réserves de brut et de produits raffinés, afin d'évaluer l'importance de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une diminution de 1.75 millions de barils des stocks d'or noir, tandis que ceux d'essence devraient augmenter en 100 000 barils.
Les sept dernières semaines les ont vues régresser, ce qui n'était plus arrivé depuis près de deux ans, la saison des départs en vacances battant son plein et celles des ouragans dans l'Atlantique, donc sur les voies d'approvisionnement, aussi.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.52% pour grimper à 118.31 USD du baril dans le même temps, soit 18.65 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 99.66 USD le baril en début de séance européenne, gagnant 0.5%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.72 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.55% de progression.
La monnaie américaine a en effet plongé à son pire niveau en trois semaines, et l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.71% de son côté pour se situer à 73.78, sa plus piètre position des trois derniers mois.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le président Obama a en effet appelé lors d'un discours à la Maison Blanche les dirigeants démocrates et républicains a trouver un compromis équitable sur le sujet afin d'éviter un défaut de paiement national "irréfléchi et irresponsable".
John Boehner, président de la chambre des représentants, a peu après plaidé pour l'adoption des propositions émanant de son parti républicain, et agité le spectre des conséquences d'un défaut de paiement.
Les observateurs attendaient quand à eux de nouvelles informations concernant les réserves de brut et de produits raffinés, afin d'évaluer l'importance de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une diminution de 1.75 millions de barils des stocks d'or noir, tandis que ceux d'essence devraient augmenter en 100 000 barils.
Les sept dernières semaines les ont vues régresser, ce qui n'était plus arrivé depuis près de deux ans, la saison des départs en vacances battant son plein et celles des ouragans dans l'Atlantique, donc sur les voies d'approvisionnement, aussi.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.52% pour grimper à 118.31 USD du baril dans le même temps, soit 18.65 USD de mieux que leurs homologues américaines.