Investing.com - L'euro lorgnait sur un creux de plus de deux semaines face à un dollar U.S. largement renforcé ce lundi matin, après que la Réserve Fédérale ait rappelé la semaine passée qu'elle pourrait diminuer l'ampleur de son programme de rachats d'actifs dès cette année.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3090 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 6 juin, puis s'est stabilisée vers 1,3099, trébuchant de 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3041, son plancher du 4 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,3150, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La monnaie unique avait par contre été fragilisée lors de la dernière séance, après que le parti grec des démocrates de gauche se soit retiré de la coalition gouvernementale, en protestation contre les suppressions de postes prévues dans le secteur public, réduisant la majorité gouvernementale au minimum.
Le Fonds Monétaire International a alors précisé qu'il ne suspendrait pas la fourniture de ses aides au pays, qui doit trouver un accord à leur sujet d'ici juillet.
Cette remarque survenait dans le cadre de craintes au sujet du retard récemment rencontré par le plan de privatisations adopté l'année dernière, et qui pourrait nuire au rythme de ses réformes nécessaires pour s'assurer de disposer de fonds de secours.
La devise européenne a par ailleurs pris l'avantage sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8517 et l'EUR/JPY gagnant 0,36% pour grimper à 128,86.
L'institut Ifo pour la recherche économique compte pour sa part rendre aujourd'hui son rapport sur l'ambiance dans les affaires de l'Allemagne.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3090 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 6 juin, puis s'est stabilisée vers 1,3099, trébuchant de 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3041, son plancher du 4 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,3150, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La monnaie unique avait par contre été fragilisée lors de la dernière séance, après que le parti grec des démocrates de gauche se soit retiré de la coalition gouvernementale, en protestation contre les suppressions de postes prévues dans le secteur public, réduisant la majorité gouvernementale au minimum.
Le Fonds Monétaire International a alors précisé qu'il ne suspendrait pas la fourniture de ses aides au pays, qui doit trouver un accord à leur sujet d'ici juillet.
Cette remarque survenait dans le cadre de craintes au sujet du retard récemment rencontré par le plan de privatisations adopté l'année dernière, et qui pourrait nuire au rythme de ses réformes nécessaires pour s'assurer de disposer de fonds de secours.
La devise européenne a par ailleurs pris l'avantage sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8517 et l'EUR/JPY gagnant 0,36% pour grimper à 128,86.
L'institut Ifo pour la recherche économique compte pour sa part rendre aujourd'hui son rapport sur l'ambiance dans les affaires de l'Allemagne.