Investing.com - L'euro a vu son regain de forme face à la livre prendre fin mardi, retombant du pic de ces quatre derniers jours avant la rencontre entre le Président des Etats-Unis Barack Obama et le Premier Ministre grec George Papandreou à propos de la dette grecque.
A l'ouverture des places européennes, le couple EUR/GBP a vu son retour fréiné à 0.9097, son plus beau score depuis mercredi dernier, puis s'est stabilisé à 0.9052 lors de la séance de l'après-midi, gagnant 0.02%.
la paire avait des chances de trouver du soutien à 0.8981, creux atteint vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.9149, sommet de ces trois derniers mois atteint lundi dernier.
Les chiffres officiels dévoilés plus tôt ont également montré un déficit de la balance commerciale britannique sur les biens qui s'est élargi pendant le mois de janvier.
Le Premier Ministre grec a également prévenu avant sa rencontre à Washington avec le Président Barack Obama que les Etats-Unis et par extension l'Europe ne pouvaient se permettre d'ignorer les difficultés de son pays, comme l'a rapporté le Washington Post.
Papandreou a rappelé lundi que si la crise grecque "métastasait" elle "pourrait créer une nouvelle crise financière globale aux conséquences aussi graves que celle originaire des Etats-Unis il y a deux ans".
A l'ouverture des places européennes, le couple EUR/GBP a vu son retour fréiné à 0.9097, son plus beau score depuis mercredi dernier, puis s'est stabilisé à 0.9052 lors de la séance de l'après-midi, gagnant 0.02%.
la paire avait des chances de trouver du soutien à 0.8981, creux atteint vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.9149, sommet de ces trois derniers mois atteint lundi dernier.
Les chiffres officiels dévoilés plus tôt ont également montré un déficit de la balance commerciale britannique sur les biens qui s'est élargi pendant le mois de janvier.
Le Premier Ministre grec a également prévenu avant sa rencontre à Washington avec le Président Barack Obama que les Etats-Unis et par extension l'Europe ne pouvaient se permettre d'ignorer les difficultés de son pays, comme l'a rapporté le Washington Post.
Papandreou a rappelé lundi que si la crise grecque "métastasait" elle "pourrait créer une nouvelle crise financière globale aux conséquences aussi graves que celle originaire des Etats-Unis il y a deux ans".