Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. ce vendredi, compensant une partie des pertes des la semaine sur fond de rumeurs d'après lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait accorder des prêts au Fonds Monétaire International pour financer les fonds de sauvetage liés à la dette souveraine, tandis que les coûts des emprunts italiens et espagnoles voyaient retomber leur fièvre.
En Italie, Mario Monti, le premier ministre fraîchement désigné, a remporté une motion de confiance auprès du parlement, lui conférant la mission se définir son programme, et prendre notamment les mesures d'urgence destinées à raviver la confiance des investisseurs, mais aussi lancer des réformes structurelles plus vastes.
Les obligations nationales ont par la suite repris des couleurs, retombant sous le seuil des 7%, niveau généralement considéré comme intenable sur le long terme. Leurs homologues espagnoles ont fait de même, après n'avoir fait que le frôler lors d'une mise aux enchères du début de semaine, la BCE ayant acquis des bons du trésor des deux pays concernés.
La première, étant dans le rouge d'environ 2 billions d'euros, est largement estimée trop grosse pour un plan de secours par la plupart des investisseurs.
La livre sterling a également gagné du terrain sur l'étalon américain en fin de semaine, suivant le chemin tracé par la monnaie unique, mais demeurait sur la sellette après que Martin Weale, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, ait avoué qu'il y aurait "de très bonnes raisons" pour augmenter le volume du plan d'assouplissement de cette dernière l'année prochaine.
Le billet vert s'est par aiilleurs élevé jeudi jusqu'à un pic des cinq dernières semaines face au franc suisse, alors que les bruits affirmant que le Banque Nationale Suisse pourrait remonter son taux plancher de 1.2 par rapport à l'euro afin de réduire la déflation et encourager la croissance allaient bon train.
Ses cousins d'Australie et de Nouvelle-Zélande, fortement liés aux matières premières, lui ont également cédé du terrain pour la troisième semaine d'affilée, le premier séjournant même brièvement sous la parité, la crise de la dette souveraine de la zone euro pesant sur l'attractivité des investissements les plus risqués.
Les chiffres du chômage des Etats-Unis avaient pour leur part une baisse inattendue du nombre des nouvelles inscriptions, celui-ci se retrouvant à son plus bas niveau en sept mois, tandis que celui des lancements de chantiers augmentait encore plus qu'espéré, luttant ainsi contre la frilosité ambiante.
Les observateurs scruteront la semaine prochaine l'évolution de la situation de l'Europe, mais aussi la croissance américaine du troisième trimestre , sans oublier le volume des commandes de biens durables, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 21 novembre
La Banque du Japon publiera tout d'abord le compte-rendu détaillé de la réunion de novembre de son comité d'orientation de la politique monétaire, donnant le point de vue adopté par la banque sur l'état actuel de l'économie, et le pays fournira le solde officiel de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens exportés et importés.
Le Royaume-Uni fera de même concernant l'évolution des prix des logements, signe important de vigueur économique, tandis que la zone euro dévoilera l'état de son compte courant.
Le gouvernement canadien annoncera quand à lui les résultats des ventes au détail dans le pays, donannt le pouls de l'économie, tandis que celui des Etats-Unis divulguera ses chiffres des ventes de logements d'occasion.
Mardi 22 novembre
La Nouvelle-Zélande annoncera l'inflation officiellement attendue, fortetment liée à la croissance, et la Suisse fera de même concernant sa balance commerciale.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec l'annonce par le gouvernement de l'ampleur des empruts publics, tandis que la zone euro rendra un rapport sur la confiance de ses consomateurs.
Le Canada dévoilera le volume des ventes au détail, mesuré par les autorités, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les Etats-Unis lèveront le mystère sur leur estimation du produit intérieur brut, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, et la Réserve Fédérale divulguera le contenu de sa plus récente réunion d'orientation politique.
Mercredi 22 novembre
L'Australie divulguera son indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie dans les six mois, et des informations portant sur les chantiers officiellement achevés, reflétant l'activité dans le domaine du bâtiment, tandis qu'au Japon, les places boursières resteront closes pour cause de jour férié.
La zone euro fera de même avec ses évaluations préliminares de la croissance de ses secteur manufacturier et tertiaire, suivie en cela par la France et l'Allemagne, puis elle révèlera le volume officiel des nouvelles commandes industrielles, préfigurant celui de la production à venir.
Au Royaume-Uni, la Banque d'Angleterre publiera le détail de la réunion tenue en début de mois par son comité directeur, et les acteurs de son immobilier annonceront le nombre des accords de prêts hypothécaires, signe de la demande dans le domaine.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux toute une série de résultats, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux insctits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrol brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuelles et celui des dépenses des particuliers, puis l'université du Michigan laissera connaître son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.
Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, prendra d'autre part la parole, ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir, et les autorités de Nouvelle-Zélande annonceront le solde de la balance commerciale nationale.
Jeudi 24 novembre
En ce qui concerne la zone euro, l'Allemagne publiera les chiffres révisés de son PIB du troisième trimestre, et l'institut Ifo pour la recherche économique fera de même concernant son baromètre des affaires, signe crucial de la force de l'économie.
Le Royaume-Uni fera lui aussi la révision de sa croissance trimestrielle, et fournira également des informations sur les commandes industrielles espéréesn, ainsi que qu'une estimation du volume des investissements consentis par les entreprises, reflétant leur volonté de parier sur le futur.
Les marchés américains demeureront pour leur part clos, pour la fête de Thanksgiving.
Vendrredi 25 novembre
Le Japon divulguera les chiffres officiels de son inflation, facteur primordial de la vie économique, puis l'Allemagne fera de même concernant ses prix à l'importation, et l'Italie aussi avec le volume des ventes auprès des particuliers mesuré par ses autorités.
En Italie, Mario Monti, le premier ministre fraîchement désigné, a remporté une motion de confiance auprès du parlement, lui conférant la mission se définir son programme, et prendre notamment les mesures d'urgence destinées à raviver la confiance des investisseurs, mais aussi lancer des réformes structurelles plus vastes.
Les obligations nationales ont par la suite repris des couleurs, retombant sous le seuil des 7%, niveau généralement considéré comme intenable sur le long terme. Leurs homologues espagnoles ont fait de même, après n'avoir fait que le frôler lors d'une mise aux enchères du début de semaine, la BCE ayant acquis des bons du trésor des deux pays concernés.
La première, étant dans le rouge d'environ 2 billions d'euros, est largement estimée trop grosse pour un plan de secours par la plupart des investisseurs.
La livre sterling a également gagné du terrain sur l'étalon américain en fin de semaine, suivant le chemin tracé par la monnaie unique, mais demeurait sur la sellette après que Martin Weale, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, ait avoué qu'il y aurait "de très bonnes raisons" pour augmenter le volume du plan d'assouplissement de cette dernière l'année prochaine.
Le billet vert s'est par aiilleurs élevé jeudi jusqu'à un pic des cinq dernières semaines face au franc suisse, alors que les bruits affirmant que le Banque Nationale Suisse pourrait remonter son taux plancher de 1.2 par rapport à l'euro afin de réduire la déflation et encourager la croissance allaient bon train.
Ses cousins d'Australie et de Nouvelle-Zélande, fortement liés aux matières premières, lui ont également cédé du terrain pour la troisième semaine d'affilée, le premier séjournant même brièvement sous la parité, la crise de la dette souveraine de la zone euro pesant sur l'attractivité des investissements les plus risqués.
Les chiffres du chômage des Etats-Unis avaient pour leur part une baisse inattendue du nombre des nouvelles inscriptions, celui-ci se retrouvant à son plus bas niveau en sept mois, tandis que celui des lancements de chantiers augmentait encore plus qu'espéré, luttant ainsi contre la frilosité ambiante.
Les observateurs scruteront la semaine prochaine l'évolution de la situation de l'Europe, mais aussi la croissance américaine du troisième trimestre , sans oublier le volume des commandes de biens durables, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 21 novembre
La Banque du Japon publiera tout d'abord le compte-rendu détaillé de la réunion de novembre de son comité d'orientation de la politique monétaire, donnant le point de vue adopté par la banque sur l'état actuel de l'économie, et le pays fournira le solde officiel de son commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens exportés et importés.
Le Royaume-Uni fera de même concernant l'évolution des prix des logements, signe important de vigueur économique, tandis que la zone euro dévoilera l'état de son compte courant.
Le gouvernement canadien annoncera quand à lui les résultats des ventes au détail dans le pays, donannt le pouls de l'économie, tandis que celui des Etats-Unis divulguera ses chiffres des ventes de logements d'occasion.
Mardi 22 novembre
La Nouvelle-Zélande annoncera l'inflation officiellement attendue, fortetment liée à la croissance, et la Suisse fera de même concernant sa balance commerciale.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec l'annonce par le gouvernement de l'ampleur des empruts publics, tandis que la zone euro rendra un rapport sur la confiance de ses consomateurs.
Le Canada dévoilera le volume des ventes au détail, mesuré par les autorités, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les Etats-Unis lèveront le mystère sur leur estimation du produit intérieur brut, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de vigueur de celle-ci, et la Réserve Fédérale divulguera le contenu de sa plus récente réunion d'orientation politique.
Mercredi 22 novembre
L'Australie divulguera son indice des signaux économiques prévisionnels, destiné à prédire la direction de l'économie dans les six mois, et des informations portant sur les chantiers officiellement achevés, reflétant l'activité dans le domaine du bâtiment, tandis qu'au Japon, les places boursières resteront closes pour cause de jour férié.
La zone euro fera de même avec ses évaluations préliminares de la croissance de ses secteur manufacturier et tertiaire, suivie en cela par la France et l'Allemagne, puis elle révèlera le volume officiel des nouvelles commandes industrielles, préfigurant celui de la production à venir.
Au Royaume-Uni, la Banque d'Angleterre publiera le détail de la réunion tenue en début de mois par son comité directeur, et les acteurs de son immobilier annonceront le nombre des accords de prêts hypothécaires, signe de la demande dans le domaine.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux toute une série de résultats, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux insctits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrol brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuelles et celui des dépenses des particuliers, puis l'université du Michigan laissera connaître son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.
Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, prendra d'autre part la parole, ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir, et les autorités de Nouvelle-Zélande annonceront le solde de la balance commerciale nationale.
Jeudi 24 novembre
En ce qui concerne la zone euro, l'Allemagne publiera les chiffres révisés de son PIB du troisième trimestre, et l'institut Ifo pour la recherche économique fera de même concernant son baromètre des affaires, signe crucial de la force de l'économie.
Le Royaume-Uni fera lui aussi la révision de sa croissance trimestrielle, et fournira également des informations sur les commandes industrielles espéréesn, ainsi que qu'une estimation du volume des investissements consentis par les entreprises, reflétant leur volonté de parier sur le futur.
Les marchés américains demeureront pour leur part clos, pour la fête de Thanksgiving.
Vendrredi 25 novembre
Le Japon divulguera les chiffres officiels de son inflation, facteur primordial de la vie économique, puis l'Allemagne fera de même concernant ses prix à l'importation, et l'Italie aussi avec le volume des ventes auprès des particuliers mesuré par ses autorités.