Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé le sourire face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, profitant encore des rumeurs de fermeture imminente des robinets de son émettrice.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,32% pour tomber à 1,3025.
Il bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Elle a cependant vu son président Ben Bernanke lui faire perdre des plumes la semaine passée, en rappelant que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,35% pour chuter à 1,5052.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,49% pour se hisser à 99,72, les places boursières nippones demeurant inactives pour cause de jour férié.
Il en allait de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,51% pour culminer à 0,9509.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD se renforçant de 0,48% pour se retrouver à 0,9091, le NZD/USD arrachant 0,32% pour culminer à 0,7799 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0417.
Les deux premières ont repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de la Chine, dont elles sont fortement dépendantes, avait connu une expansion assez conforme aux attentes au cours du second trimestre.
Une étude officielle a en effet signalé que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail nationales avaient engrangé 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, faisant suite aux 9,2% de mai.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 83,36.
Les Etats-Unis comptent pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,32% pour tomber à 1,3025.
Il bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Elle a cependant vu son président Ben Bernanke lui faire perdre des plumes la semaine passée, en rappelant que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,35% pour chuter à 1,5052.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,49% pour se hisser à 99,72, les places boursières nippones demeurant inactives pour cause de jour férié.
Il en allait de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,51% pour culminer à 0,9509.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD se renforçant de 0,48% pour se retrouver à 0,9091, le NZD/USD arrachant 0,32% pour culminer à 0,7799 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0417.
Les deux premières ont repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de la Chine, dont elles sont fortement dépendantes, avait connu une expansion assez conforme aux attentes au cours du second trimestre.
Une étude officielle a en effet signalé que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail nationales avaient engrangé 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, faisant suite aux 9,2% de mai.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 83,36.
Les Etats-Unis comptent pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.