Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le franc suisse prendre l'avantage ce mardi, suite à la révélation de chiffres positifs de l'emploi là où ce dernier a cours, mais la valeur sûre de l'étalon américain bénéficiait toujours du spectre de l'instabilité politique italienne.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9286 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9299, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9273, son plancher du 21 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9339, son plafond de lundi.
Des chiffres officiels ont en effet montré que le nombre des salariés helvètes s'était maintenu à 4.12 millions au quatrième trimestre, alors qu'un passage à vide à 4.11 millions était redouté.
En Italie, coalition de centre gauche avec à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à procéder à un nouveau scrutin.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% d'hier jusqu'à 4.82%, imitées par celles de Madrid passant de 5.1 à 5.4%.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.11% pour glisser à 1.2168.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, devrait pour sa part témoigner dans l'après-midi sur l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9286 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9299, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9273, son plancher du 21 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9339, son plafond de lundi.
Des chiffres officiels ont en effet montré que le nombre des salariés helvètes s'était maintenu à 4.12 millions au quatrième trimestre, alors qu'un passage à vide à 4.11 millions était redouté.
En Italie, coalition de centre gauche avec à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à procéder à un nouveau scrutin.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% d'hier jusqu'à 4.82%, imitées par celles de Madrid passant de 5.1 à 5.4%.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.11% pour glisser à 1.2168.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, devrait pour sa part témoigner dans l'après-midi sur l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.