Investing.com - Le dollar U.S. était en nette baisse par rapport à la valeur refuge du franc suisse ce mardi, s'effondrant vers un troisième record consécutif sur fond d'angoisse concernant la santé de l'économie mondiale poussant vers les investissements sûrs.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.736 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas de tous les temps, puis s'est stabilisée vers 0.7412, dégringolant de tout de même 1.8%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.736, son plancher journalier historique, et de rencontrer de la résistance à 0.7651, son plafond de lundi.
Le billet vert s'était trouvé en mauvaise posture par rapport à son homologue helvète ce lundi, plongeant de près de 1.65%, les places boursières se trouvant ébranlées par la dégradation jamais vue de l'appréciation de la dette américaine par l'agence Standard & Poor's.
L'annonce par la BCE d'achat de bons espagnols et italiens n'a quand à elle pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Ces problèmes ont acquis une dimension mondiale après qu'une étude du bureau national des statistiques de Chine ait montré que les prix au détail avaient subi une augmentation de 6.% après ajustement saisonnier pour juillet, la plus forte des trois dernières années.
Ce taux supérieur aux attentes a étouffé l'espoir d'un assouplissement imminent de la politique monétaire de la seconde économie au monde.
Une étude officielle a par ailleurs indiqué que le moral des consommateurs suisses avait davantage fléchi que prévu, se retrouvant à -17 pour le trimestre achevé en juillet, alors qu'il n'était pas attendu qu'il passe au-dessous de -7, les ménages étant devenus plus pessimistes à propos des perspectives économiques nationales pour les 12 mois à venir.
La devise du pays a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF dérapant de 1.05% pour couler à 1.0590.
Les Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi les évaluations préalables de la productivité hors agriculture et du coût de la main-d'oeuvre.
La Réserve Fédérale annoncera de son côté son taux appliqué aux fonds fédéraux, et diffusera son communiqué sur la question, qui pourrait contenir des indices annonçant de possibles injections de capitaux supplémentaires.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.736 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas de tous les temps, puis s'est stabilisée vers 0.7412, dégringolant de tout de même 1.8%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.736, son plancher journalier historique, et de rencontrer de la résistance à 0.7651, son plafond de lundi.
Le billet vert s'était trouvé en mauvaise posture par rapport à son homologue helvète ce lundi, plongeant de près de 1.65%, les places boursières se trouvant ébranlées par la dégradation jamais vue de l'appréciation de la dette américaine par l'agence Standard & Poor's.
L'annonce par la BCE d'achat de bons espagnols et italiens n'a quand à elle pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Ces problèmes ont acquis une dimension mondiale après qu'une étude du bureau national des statistiques de Chine ait montré que les prix au détail avaient subi une augmentation de 6.% après ajustement saisonnier pour juillet, la plus forte des trois dernières années.
Ce taux supérieur aux attentes a étouffé l'espoir d'un assouplissement imminent de la politique monétaire de la seconde économie au monde.
Une étude officielle a par ailleurs indiqué que le moral des consommateurs suisses avait davantage fléchi que prévu, se retrouvant à -17 pour le trimestre achevé en juillet, alors qu'il n'était pas attendu qu'il passe au-dessous de -7, les ménages étant devenus plus pessimistes à propos des perspectives économiques nationales pour les 12 mois à venir.
La devise du pays a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF dérapant de 1.05% pour couler à 1.0590.
Les Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi les évaluations préalables de la productivité hors agriculture et du coût de la main-d'oeuvre.
La Réserve Fédérale annoncera de son côté son taux appliqué aux fonds fédéraux, et diffusera son communiqué sur la question, qui pourrait contenir des indices annonçant de possibles injections de capitaux supplémentaires.