Investing.com - L'euro a contré ses pertes subies face au dollar U.S. lors d'échanges tumultueux ce mardi, retrouvant des couleurs grâce aux signes de progrès dans la résolution de la crise du surendettement des pays l'ayant adopté.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3559, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.369 en première partie de séance américaine, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.386, son plafond du 2 février.
La devise européenne a retrouvé le sourire après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait assuré être "très optimiste" concernant la satisfaction de l'exigence finlandaise d'un ajout de biens collatéraux spéciaux au plan d'aide à la Grèce.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait pour sa part tenir une conférence téléphonique avec la dirigeante allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
La monnaie unique restait cependant sur la sellette, en raison de l'attente d'une dégradation par l'agence Moody's de la notation des trois plus grosses banques françaises en raison de leur surexposition au risque grec.
Elle a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.44% pour se hisser à 0.866.
La déception de la vente aux enchères de dettes italiennes l'avait auparavant fait plonger dans un creux journalier, les coûts des emprunts de l'Italie s'étant élevés vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3559, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.369 en première partie de séance américaine, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.386, son plafond du 2 février.
La devise européenne a retrouvé le sourire après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait assuré être "très optimiste" concernant la satisfaction de l'exigence finlandaise d'un ajout de biens collatéraux spéciaux au plan d'aide à la Grèce.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait pour sa part tenir une conférence téléphonique avec la dirigeante allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
La monnaie unique restait cependant sur la sellette, en raison de l'attente d'une dégradation par l'agence Moody's de la notation des trois plus grosses banques françaises en raison de leur surexposition au risque grec.
Elle a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.44% pour se hisser à 0.866.
La déception de la vente aux enchères de dettes italiennes l'avait auparavant fait plonger dans un creux journalier, les coûts des emprunts de l'Italie s'étant élevés vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro.