Investing.com - Le dollar U.S. a gardé la main face au yen ce vendredi matin, se maintenant aux abords d'un sommet de plusieurs années, profitant de l'amplification des rumeurs de fin anticipée du programme d'acquisitions de son émettrice.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 102,58 en début de séance européenne, son cours le plus élevé en quatre ans et demi, puis s'est stabilisée vers 102,49, gagnant 0,22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,26, son plancher du 14 mai, et de rencontrer de la résistance à 102,58, son plafond du jour.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, ait estimé que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
Il avait perdu des plumes hier à la suite d'une série de contre-performances économiques.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier de la région avait sombré depuis 1,3 vers -5,2 pour avril, alors qu'un sursaut à 2,4 était espéré.
Le département d'état au travail américain avait auparavant dénombré 32.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 10 mai, pour un total hebdomadaire de 360.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
La devise nippone a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY grignotant 0,13% pour se hisser à 131,78%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 102,58 en début de séance européenne, son cours le plus élevé en quatre ans et demi, puis s'est stabilisée vers 102,49, gagnant 0,22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,26, son plancher du 14 mai, et de rencontrer de la résistance à 102,58, son plafond du jour.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, ait estimé que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
Il avait perdu des plumes hier à la suite d'une série de contre-performances économiques.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier de la région avait sombré depuis 1,3 vers -5,2 pour avril, alors qu'un sursaut à 2,4 était espéré.
Le département d'état au travail américain avait auparavant dénombré 32.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 10 mai, pour un total hebdomadaire de 360.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
La devise nippone a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY grignotant 0,13% pour se hisser à 131,78%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.