Investing.com - Le dollar U.S. était plutôt morose face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, le moral se trouvant encore légèrement soutenu par l'espoir tenace d'initiatives de la part des principales banques centrales de la planète, tandis que les yeux se tournaient vers les résultats des Etats-Unis de l'après-midi.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour frémir à 1.2329.
L'enthousiasme est en effet retombé après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin, amenant la rétraction annualisée à 0.4%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.08% pour se hisser à 1.5689.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que le nombre des personnes réclamant des allocations chômage au Royaume-Uni avait diminué sans crier gare en juillet, avec 5 900 inscrits de moins le mois dernier, alors qu'une augmentation de 6 000 était redoutée.
La proportion des demandeurs d'emploi a quand à elle fait la bonne surprise de reculer de 8.2 vers 8.1% ce mois-là, alors qu'une stagnation était envisagée.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ici soulignait pour sa part que les membres de son conseil avaient voté tous les 9 en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Le yen a toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.27% pour se hisser à 78.94, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF laissantt échapper 0.07% pour descendre à 0.974.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs modestement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.03% pour monter à 0.9926, l'AUD/USD dérapant de 0.18% pour se retrouver à 1.0471 et le NZD/USD se laissant rogner 0.03% pour toucher le fond à 0.8051.
La Westpac Banking Corporation avait révélé en début de matinée que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Australie avait reculé de 2.5% pour août, après avoir pourtant engrangé 3.7% le mois précédent.
Une autre étude faisait par contre savoir que les salaires du pays avaient augmenté de 1% au second trimestre, dépassant ainsi les 0.8% espérés et prolongeant les 0.9% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a sapé 0.01% pour s'élever à 82.56.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour frémir à 1.2329.
L'enthousiasme est en effet retombé après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin, amenant la rétraction annualisée à 0.4%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.08% pour se hisser à 1.5689.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que le nombre des personnes réclamant des allocations chômage au Royaume-Uni avait diminué sans crier gare en juillet, avec 5 900 inscrits de moins le mois dernier, alors qu'une augmentation de 6 000 était redoutée.
La proportion des demandeurs d'emploi a quand à elle fait la bonne surprise de reculer de 8.2 vers 8.1% ce mois-là, alors qu'une stagnation était envisagée.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ici soulignait pour sa part que les membres de son conseil avaient voté tous les 9 en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Le yen a toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.27% pour se hisser à 78.94, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF laissantt échapper 0.07% pour descendre à 0.974.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs modestement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.03% pour monter à 0.9926, l'AUD/USD dérapant de 0.18% pour se retrouver à 1.0471 et le NZD/USD se laissant rogner 0.03% pour toucher le fond à 0.8051.
La Westpac Banking Corporation avait révélé en début de matinée que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Australie avait reculé de 2.5% pour août, après avoir pourtant engrangé 3.7% le mois précédent.
Une autre étude faisait par contre savoir que les salaires du pays avaient augmenté de 1% au second trimestre, dépassant ainsi les 0.8% espérés et prolongeant les 0.9% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a sapé 0.01% pour s'élever à 82.56.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.