Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, son attrait en tant que valeur sûre retrouvant des couleurs grâce au retour du spectre de la crise hantant la zone euro.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.3333.
La monnaie unique restait en effet sur la sellette après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la région où elle a cours avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a cependant précisé ce matin que le surplus du commerce extérieur régional avait bondi depuis 11 jusqu'à 12 milliards d'euros en décembre, alors qu'un recul à 10.7 était craint.
Le billet vert a également gagné quelques pouce de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.08% pour chuter à 1.5477.
Une étude officielle avait souligné ce matin que les ventes au détail du Royaume-Uni avaient fondu de 0.6% le mois dernier, alors qu'un sursaut de 0.4% était espéré, suite aux 0.3% de rétractation de décembre.
Le yen a par contre fait mieux que résister à sa pression, l'USD/JPY dérapant de 0.44% pour reprendre pied à 92.46, tandis que le franc suisse limitait les dégâts, l'USD/CHF grignotant 0.06% pour culminer à 0.9217.
L'unité monétaire nippone avait comencé à se rebiffer hier, après que la Banque du Japon ait opté sans grande surprise pour le statu quo.
Elle a ainsi décidé à l'issue de son conseil de direction de maintenir son taux d'intérêt précédent, à l'approche de la rencontre des ministres des finances du groupe des 20 pays les plus développés à Moscou, dont il est craint qu'il mette le pays sur le grill en raison de la récente dégringolade de sa monnaie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 1.0023, l'AUD/USD cédant 0.1% pour se retrouver à 1.035 et le NZD/USD se laissant arracher 0.15% pour toucher le fond à 0.8497.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 80.52.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec l'état de l'activité manufacturière de la région de New York, ainsi que celui de la production industrielle, alors que l'université du Michigan fournira ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.3333.
La monnaie unique restait en effet sur la sellette après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la région où elle a cours avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'économie de l'Allemagne, la plus grosse du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a cependant précisé ce matin que le surplus du commerce extérieur régional avait bondi depuis 11 jusqu'à 12 milliards d'euros en décembre, alors qu'un recul à 10.7 était craint.
Le billet vert a également gagné quelques pouce de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.08% pour chuter à 1.5477.
Une étude officielle avait souligné ce matin que les ventes au détail du Royaume-Uni avaient fondu de 0.6% le mois dernier, alors qu'un sursaut de 0.4% était espéré, suite aux 0.3% de rétractation de décembre.
Le yen a par contre fait mieux que résister à sa pression, l'USD/JPY dérapant de 0.44% pour reprendre pied à 92.46, tandis que le franc suisse limitait les dégâts, l'USD/CHF grignotant 0.06% pour culminer à 0.9217.
L'unité monétaire nippone avait comencé à se rebiffer hier, après que la Banque du Japon ait opté sans grande surprise pour le statu quo.
Elle a ainsi décidé à l'issue de son conseil de direction de maintenir son taux d'intérêt précédent, à l'approche de la rencontre des ministres des finances du groupe des 20 pays les plus développés à Moscou, dont il est craint qu'il mette le pays sur le grill en raison de la récente dégringolade de sa monnaie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 1.0023, l'AUD/USD cédant 0.1% pour se retrouver à 1.035 et le NZD/USD se laissant arracher 0.15% pour toucher le fond à 0.8497.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 80.52.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec l'état de l'activité manufacturière de la région de New York, ainsi que celui de la production industrielle, alors que l'université du Michigan fournira ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.