Investing.com - Le dollar U.S. a dérapé dans une ornière de plus d'un mois face au franc suisse ce mercredi, la circonspection étant à l'ordre du jour dans l'expectative de la prise de cap son émettrice, tandis que son adversaire bénéficiait des bons résultats provenant de là où il a cours.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,9254 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9270, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9180, son plancher du 19 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9325, son plafond d'hier.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
La nervosité était palpable à l'approche du bulletin sur la politique monétaire de la Réserve Fédérale, les bons résultats américains récemment publiés ayant accentué le flou sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi vu hier son baromètre de la confiance des consommateurs avait reculé depuis 82,1 vers 80,3 en juillet, alors qu'un déclin à 81,4 était déjà redouté.
L'indice des prix des logements établi conjointement à partir de 20 composantes par Standard & Poor's et Case-Shiller montrait par contre une augmentation annualisée de 12,2% pour mai, au lieu des 12,1% précédents, alors que 12,4% étaient envisagés.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0,15% pour glisser à 1,2312.
La monnaie unique avait repris du poil de la bête après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, continuant sur la lancée des 13.000 précédents, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait cependant été montré précédemment que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité du secteur secondaire dans la région de Chicago.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,9254 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9270, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9180, son plancher du 19 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9325, son plafond d'hier.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
La nervosité était palpable à l'approche du bulletin sur la politique monétaire de la Réserve Fédérale, les bons résultats américains récemment publiés ayant accentué le flou sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi vu hier son baromètre de la confiance des consommateurs avait reculé depuis 82,1 vers 80,3 en juillet, alors qu'un déclin à 81,4 était déjà redouté.
L'indice des prix des logements établi conjointement à partir de 20 composantes par Standard & Poor's et Case-Shiller montrait par contre une augmentation annualisée de 12,2% pour mai, au lieu des 12,1% précédents, alors que 12,4% étaient envisagés.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0,15% pour glisser à 1,2312.
La monnaie unique avait repris du poil de la bête après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, continuant sur la lancée des 13.000 précédents, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait cependant été montré précédemment que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité du secteur secondaire dans la région de Chicago.