Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi, alors que les investisseurs reprenaient leur souffle après que le bon moral des particuliers américains dévoilé en fin de semaine ait poussé son concurrent vers des sommets de six semaines.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,2516 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5214, gagnant 0,31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5159, son plancher le plus bas depuis le 4 avril datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5281, son plafond établi le même jour.
Le billet vert a en effet repris des couleurs en fin de semaine, après qu'il ait été montré que le moral des consommateurs américains avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet de près de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Ces bons résultats sont venus amplifier les bruits affirmant que la Réserve Fédérale pourrait réduire dès cette année le volume de son programme d'acquisitions.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0,03% pour se hisser à 0,8463.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, les places européennes voyant nombre de leurs effectifs en vacances de pentecôte.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,2516 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5214, gagnant 0,31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5159, son plancher le plus bas depuis le 4 avril datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5281, son plafond établi le même jour.
Le billet vert a en effet repris des couleurs en fin de semaine, après qu'il ait été montré que le moral des consommateurs américains avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet de près de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Ces bons résultats sont venus amplifier les bruits affirmant que la Réserve Fédérale pourrait réduire dès cette année le volume de son programme d'acquisitions.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0,03% pour se hisser à 0,8463.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, les places européennes voyant nombre de leurs effectifs en vacances de pentecôte.