Investing.com - Les options sur le brut ont prolongé leurs fortes pertes de la session précédente ce lundi, tombant à leur pire niveau des quatre derniers mois tandis que le dollar U.S. retrouvait la forme sur fond d'incertitudes à propos du second plan de secours grec, et que diminuait la demande américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 91.98 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.52%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.52 USD, avec 1.78% de fléchissement, leur cours le plus bas depuis le 21 février.
Le dollar U.S. avait repris des couleurs dimanche après que les ministres des finances de l'Eurogroupe aient repoussé leur décision sur les mesures d'aide à la nation hellène à la mi-juillet.
Jean-Claude Juncker, ministre des finances luxembourgeois, a déclaré dimanche que l'attribution des nouvelles aides dépendrait de la capacité du parlement grec à faire mettre en place les nouvelles mesures d'austérité.
Les législateurs en question doivent en effet voter mardi à propos de ces coupes budgétaires controversées.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.55% de son côté pour se situer à 75.88.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain avait indiqué vendredi que les réserves d'or noir du pays étaient s'étaient élevées à 367.6 millions de barils en mai, leur plus haut niveau en 31 ans, les raffineries traitant moins de brut, en raison d'une diminution de la demande en essence.
La consommation nationale de carburants distillés, comprenant notamment le diesel et le fioul, a plongé de 5.2% la semaine passée d'après les informations du département d'état à l'énergie des Etats-Unis, pour se retrouver à son pire niveau depuis janvier.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont dégringolé de 1.19% pour s'échanger à 111.92 USD du baril dans le même temps, soit 19.94 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux contrats avait culminé la semaine dernière à 23.34 USD, un nouveau record, alors qu'ils s'étaient traditionnellement situés à 1 USD l'un de l'autre.
Barclays a estimé vendredi que l'augmentation de cet écart était imputable à "un marche américain saturé".
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 91.98 USD le baril en première partie de séance européenne, s'effondrant de 1.52%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.52 USD, avec 1.78% de fléchissement, leur cours le plus bas depuis le 21 février.
Le dollar U.S. avait repris des couleurs dimanche après que les ministres des finances de l'Eurogroupe aient repoussé leur décision sur les mesures d'aide à la nation hellène à la mi-juillet.
Jean-Claude Juncker, ministre des finances luxembourgeois, a déclaré dimanche que l'attribution des nouvelles aides dépendrait de la capacité du parlement grec à faire mettre en place les nouvelles mesures d'austérité.
Les législateurs en question doivent en effet voter mardi à propos de ces coupes budgétaires controversées.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.55% de son côté pour se situer à 75.88.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain avait indiqué vendredi que les réserves d'or noir du pays étaient s'étaient élevées à 367.6 millions de barils en mai, leur plus haut niveau en 31 ans, les raffineries traitant moins de brut, en raison d'une diminution de la demande en essence.
La consommation nationale de carburants distillés, comprenant notamment le diesel et le fioul, a plongé de 5.2% la semaine passée d'après les informations du département d'état à l'énergie des Etats-Unis, pour se retrouver à son pire niveau depuis janvier.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont dégringolé de 1.19% pour s'échanger à 111.92 USD du baril dans le même temps, soit 19.94 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux contrats avait culminé la semaine dernière à 23.34 USD, un nouveau record, alors qu'ils s'étaient traditionnellement situés à 1 USD l'un de l'autre.
Barclays a estimé vendredi que l'augmentation de cet écart était imputable à "un marche américain saturé".